Nissan est heureux de renouer avec ses fans et tous les passionnés d’automobile à l’occasion du salon Rétromobile, qui se tiendra Porte de Versailles à Paris du 16 au 20 mars prochains.
Nissan, en collaboration avec le concessionnaire Nissan Avenir*, exposera trois modèles qui correspondent à trois chapitres clés de sa riche histoire, d’hier et d’aujourd’hui : le coupé 240Z de 1972, le tout-terrain Patrol de 1976 et le crossover coupé 100% électrique Ariya de 2022. Une histoire commencée en 1933 et qui continue de s’écrire à travers la stratégie Ambition 2030 vers un futur 100% électrique.
Le coupé 240Z et le Patrol ont marqué l’histoire de Nissan par leurs performances, leur qualité et leur design, devenant au fil des décennies des icônes pour les amateurs de voitures de collection. Ces deux modèles furent les pionniers d’une longue lignée de coupés sportifs et de véhicules tout-terrain qui font encore référence aujourd’hui.
En 1947 Nissan lançait son tout premier véhicule électrique baptisé TAMA. Le Japon souffrait alors d’une pénurie de pétrole tandis que la production d’électricité était excédentaire. TAMA avait une autonomie de 96 km et une vitesse maximale de 35 km/h. Il a été très populaire comme taxi jusqu’en 1951. Il y a près de 16 ans, la marque inventait le crossover avec le QASHQAI. Il y a plus de 10 ans, Nissan lançait la première voiture grand public 100% électrique au monde, la LEAF. C’est en mettant à profit cette expérience incomparable que la marque a conçu le nouvel Ariya, son premier crossover-coupé 100% électrique également présenté au salon Rétromobile.
Nissan s’appuie sur son histoire pour construire le présent et l’avenir. Malgré leur demi-siècle d’écart, le 240Z, le Patrol et l’Ariya partagent des valeurs communes, en particulier l’innovation et l’ambition de rendre accessibles des technologies et des performances de pointe.
Nissan 240Z (1969-1974) : le design et la performance deviennent accessibles à davantage de passionnés
Le coupé 240Z, c’est d’abord un coup de crayon magistral de fluidité, qui ondule avec élégance de la proue à la poupe, comme s’il avait été tracé d’un seul geste. En outre, l’alliance d’un capot généreusement étiré et d’un arrière coupé net répond parfaitement aux canons esthétiques de la fin des années 60, surtout lorsqu’on rajoute deux phares ronds profondément enfouis dans les ailes. Bref, tout pour plaire aux passionnés !
Côté mécanique, ceux-ci ne sont pas déçus non plus. La conception du 240Z est moderne pour l’époque : caisse autoporteuse, suspensions indépendantes aux quatre roues, freins à disques à l’avant… Et, surtout, le coupé reçoit un moteur 6 cylindres 2,4 litres (d’où le nom de 240Z) développant 150 chevaux. Ce qui lui permet d’accélérer de 0 à 100 km/h en environ 9 secondes et de chatouiller les 200 km/h. Des performances équivalentes à celles des meilleures sportives de l’époque… à un prix deux fois inférieur.
Le succès est immédiatement au rendez-vous, notamment aux Etats-Unis, son principal marché. Les listes d’attente s’allongent et le 240Z se vend plus chère d’occasion que neuf !
A côté du succès commercial, le 240Z fait aussi preuve d’une belle réussite sportive, notamment en rallyes. Il remporte le mythique Safari Rallye en 1971 et 1973, et monte sur le podium du Monte-Carlo 1972.
Produit à 116 712 exemplaires de 1969 à 1974, le Nissan 240Z sera ensuite suivi du 260Z, puis du 280Z… jusqu’au dernier coupé Z 2023.
Le Nissan 240Z exposé à Rétromobile est un modèle de 1972, de couleur blanche, dans un très bel état d’origine avec son 6 cylindres 2,4 l de 150 chevaux en parfait état de marche.
Nissan 240Z (1972)
- Moteur 6 cylindres en ligne, 2,4 litres, 12 soupapes
- Puissance maxi : 150 ch à 6 000 tr/mn
- Couple maxi : 20,5 mkg à 4 400 tr/mn
- Boîte de vitesses à 5 rapports, transmission aux roues arrière
- Freins AV/AR : disques/tambours
- Longueur x largeur : 4,136 x 1,630 m
- Vitesse maxi : 205 km/h
- Accélération de 0 à 100 km/h : 9 s
Nissan Patrol Type 60 (1960-1980) : la polyvalence à toute épreuve
Née en 1951 pour répondre à un appel d’offres de la police japonaise, la première génération du Nissan Patrol était dérivée de la célèbre « Willys ». En 1960, avec le Patrol Type 60, Nissan s’émancipe du modèle américain. Le Patrol n’en reste pas moins un véhicule destiné à affronter les terrains les plus difficiles et doté d’une technologie adaptée : robuste châssis en échelle, ressorts à lames, transmission 4X4, boite de vitesses à 3 rapports avec boite de transfert.
Mais l’atout maitre du Patrol Type 60 est son puissant moteur 6 cylindres en ligne 3,9 litres développant 125, 130, 135 puis 145 chevaux, et jusqu’à 32,5 mkg de couple. De quoi lui permettre d’affronter tous les terrains, d’atteindre 125 km/h sur route (donnée constructeur de l’époque) et de proposer à ses utilisateurs deux prises de force, l’une à l’avant, l’autre à l’arrière.
Disponible en de multiples configurations de longueur et de carrosserie, ce Patrol a marqué l’histoire par sa polyvalence, ses capacités de franchissement et surtout par sa robustesse exceptionnelle. Des qualités qui lui ont permis de connaitre un succès remarquable pendant 20 ans et de faire du Patrol un grand nom du tout-terrain mondial. Une réputation confirmée et consolidée par les quatre générations qui se sont ensuite succédées jusqu’à aujourd’hui.
Le Nissan Patrol L60 exposé à Rétromobile est un modèle acheté en 1976 par un chef d’entreprise grec qui parcourra 169 500 km à son volant en 32 ans ! Racheté en 2008 par l’importateur Nissan en Grèce, ce Patrol a été restauré dans les règles de l’art pour le remettre totalement dans son état d’origine.
Nissan Patrol L60 (1976)
- Moteur essence 6 cylindres en ligne, 3,9 litres, 12 soupapes
- Puissance maxi : 145 ch à 3 800 tr/mn
- Couple maxi : 32,5 mkg à 2 000 tr/mn
- Boîte de vitesses à 3 rapports, transmission 4X4 avec boîte de transfert
- Freins AV/AR : tambours/tambours
- Longueur x largeur : 3,770 x 1,693 m
- Vitesse maxi : 125 km/h
Nissan Ariya (2022) : le design, la performance et la polyvalence zéro émission
Le Nissan Ariya est le premier crossover coupé 100% électrique de Nissan et incarne un nouveau chapitre pour les véhicules 100% électriques de la marque. Il offre de puissantes accélérations, une conduite fluide et silencieuse, ainsi qu’un habitacle accueillant développé comme un salon, et non comme un habitacle automobile traditionnel.
L’Ariya inaugure la plateforme CMF-EV et la nouvelle philosophie de Nissan en matière design, ce que la marque appelle le futurisme japonais intemporel, caractérisé par une approche mêlant simplicité et modernité.
Les fonctionnalités de conduite assistée de l’Ariya, première étape vers la conduite autonome chez Nissan, les technologies telles que l’assistance vocale personnelle et la connectivité simplifiée soulignent un environnement accueillant pour le conducteur et les passagers.
Le Nissan Ariya sera proposé avec une batterie 63 kWh ou 87 kWh à deux roues motrices pour une autonomie jusqu’à 500 km WLTP (en attente d’homologation). Le Nissan Ariya est aussi disponible avec la technologie de transmission intégrale la plus avancée de Nissan. Celle-ci, baptisée e-4ORCE, est la déclinaison logique du savoir-faire de Nissan en termes de transmission intégrale et de vectorisation du couple, à l’image des systèmes de répartition du couple ATTESA E-TS de la supercar Nissan GT‑R ou du système 4X4 intelligent du Nissan Patrol.
Le Nissan Ariya sera commercialisé en France très prochainement.
Le Nissan Ariya exposé à Rétromobile est une version 63 kWh, deux roues motrices, en finition Evolve de couleur rouge Fushimi avec jantes de 20 pouces et intérieur gris clair.
Nissan Ariya 63 kWh (2022)
- Moteur électrique, batterie de 63 kWh (capacité réelle)
- Puissance : 160 kW (217 ch)
- Couple : 30 mkg dès le démarrage
- Boîte de vitesses à rapport unique, transmission aux roues avant
- Freins AV/AR : disques/disques
- Longueur x largeur : 4,595 x 1,850 m
- Vitesse maxi : 160 km/h
- Accélération de 0 à 100 km/h : 7,5 s
*Nissan Avenir est un acteur majeur du réseau de concessionnaires Nissan en Ile-de-France avec 9 implantations situées à Paris 16, dans l’Essonne (Corbeil, Etampes, Les Ulis, Sainte Geneviève des Bois et Viry-Châtillon), les Yvelines (Maurepas, Viroflay) et les Hauts-de-Seine (Montrouge).