l’Insignia « 120 ans » perpétue la tradition des routières Opel

OpelOpel fabrique des automobiles depuis 1899. Tout a commencé avec la 4 hp Patentmotorwagen « Système Lutzmann » – qui était, selon une brochure de la société de l’époque, « la crème de la crème ». En 2019, Opel fête ses 120 ans de production automobile – et par là-même, 120 ans d’innovation pour tous. Depuis toujours, la marque allemande s’est distinguée par sa volonté de faire profiter le plus grand nombre des progrès de la technologie en montant des équipements sophistiqués en grande série. L’Opel Insignia « 120 ans » s’inscrit dans la lignée des célèbres KAD.

Les séries spéciales « 120 ans » sont facilement identifiables grâce à d’élégants éléments chromés mais aussi de l’inscription OPEL avec le logo « 120 ans » sur les seuils de porte.

« Grâce à nos séries spéciales anniversaire « 120 ans », nous montrons une fois de plus quelle importance peut avoir au quotidien le progrès technologique, » assure Xavier Duchemin, Managing Director Sales, Aftersales and Marketing Opel Automobile GmbH. « Nous proposons ainsi une gamme présentant précisément les véhicules que les clients recherchent – à des conditions très attractives. »

L’Opel Insignia « 120 ans » est disponible à partir de 28 150€ TTC (Insignia Grand Sport 1.5 Turbo 103 kW / 140 ch et boîte manuelle six vitesses). La série spéciale anniversaire est proposée en versions Grand Sport et Sports Tourer. Le bloc 1.6 ECOTEC® Diesel 81 kW / 110 ch complète l’offre moteur.

Sous les projecteurs : l’IntelliLux LED®

L’Opel Insignia « 120 ans » peut être équipée en option de l’éclairage matriciel adaptatif IntelliLux LED® (option proposée à 1590€ TTC). Ses phares sont constitués de 16 segments de LED (huit de chaque côté) qui adaptent en permanence la portée et la forme du faisceau lumineux à chaque situation rencontrée. Et quand des véhicules arrivent en face, ou devancent la voiture, le système coupe tout simplement le segment d’éclairage qui pourrait les atteindre. Ainsi, les autres usagers de la route ne sont jamais éblouis, tandis que le conducteur profite de la meilleure visibilité possible. Les magazines spécialisés ne s’y sont pas trompés : « l’’éclairage matriciel d’Opel est une percée dans les systèmes d’éclairage automobiles.

Le fonctionnement du système ne peut être plus simple : dès que la voiture quitte les zones urbaines, les phares IntelliLux LED® s’allument automatiquement. Ensuite, ils adaptent en permanence la portée et la forme du faisceau lumineux à chaque situation de conduite. Ainsi on peut passer sans souci de la conduite sur autoroutes à celle sur de petites routes, revenir en ville, ou encore aborder un virage. Quelle que soit la situation, le système sophistiqué permet de voir comme en plein jour, et sans gêner les autres usagers de la route.

Chacune des optiques IntelliLux LED® dispose également d’un spot feu de route qui fournit un éclairage supplémentaire en feux de route et porte l’illumination du faisceau jusqu’à 400 mètres. Ainsi le conducteur est capable de voir par exemple des animaux traversant la route à une distance qui restait auparavant dans le noir. Avec l’arrivée de l’automne, c’est un énorme atout de sécurité dès que l’on roule sur des routes de campagne tôt le matin ou le soir.

De 1937 à 2017 : de l’Opel Admiral à la l’Opel Insignia « 120 ans »

Le 17 février 1937, pour marquer le 75ème anniversaire de la société Adam Opel AG, le constructeur présentait deux nouveautés d’un modernisme absolu : l’Admiral et la Super 6. Les deux voitures étaient équipées de motorisations dernier-cri : un six-cylindres en ligne de 2,5 litres et 55 ch pour la première, et un six en ligne de 3,6 litres et 75 ch pour la seconde. L’Admiral a été la première d’une lignée de modèles de luxe qui allait durer 40 ans. La Super 6 annonçait la très réussie Kapitän 1938.

Dix ans plus tard, la première Kapitän d’après-guerre quittait l’usine et le grand boom économique de ces années allait voir ses ventes s’envoler vers les sommets. La Kapitän a été l’une des plus fortes ventes de six-cylindres en Allemagne et est devenu un best-seller international, puisque 60% de l’ensemble des Kapitän ont été exportées. La Kapitän exposée à Essen a été construite le 9 novembre 1956 et elle a joué un rôle particulier dans cette success story. Deux millionième Opel jamais construite, son toit a été recouvert d’or, et elle arbore également d’autres éléments plaqués or 24 carats. Opel a été le premier constructeur automobile allemand et européen à dépasser la barre des 2 millions de voitures construites.

Au printemps 1964, Opel restructurait son offre de véhicules de prestige. Les Kapitän, Admiral et Diplomat devenaient alors ses « Big Three », ses trois grandes comme on surnommait alors les géants de l’automobile. Pour la première fois, Opel offrait des moteurs V8. Dans cette catégorie luxe, la hiérarchie des modèles était dictée par l’équipement et la taille du moteur. La Kapitän et l’Admiral recevaient un moteur bien connu, le six-cylindres 2,6 litres de 100 ch. Le moteur de la Diplomat arrivait en droite ligne des Etats-Unis : le fleuron de cette série était animé par un V8 de 4,6 litres de cylindrée et 190 ch. Dès le printemps 1965, la Kapitän et l’Admiral étaient disponibles en option avec le V8 de 4,6 litres et la transmission automatique de la Diplomat. Ces Kapitän et Admiral V8 sont aujourd’hui recherchées : seulement 113 Kapitän et 622 Admiral ont été construites.

En février 1969 Opel faisait progresser de manière importante le segment du haut de gamme en lançant la nouvelle génération de modèles KAD, retravaillée dans tous les domaines. Comme avant, c’était la Kapitän qui marquait l’accès à la classe KAD. Son moteur six cylindres en ligne de 2,8 litres à arbre à cames en tête délivrait 132 ch. Juste au-dessus se positionnait l’Admiral, richement équipée, qui disposait de 145 ch en version 2800 S et 165 ch en version plus puissante Admiral 2800 E. Le V8 5,4 litres de 230 ch était réservé à la Diplomat.

40 ans après l’arrivée de l’Admiral, Opel renouvelait son offre. A partir de 1977, le rôle de haut de gamme de l’offre du constructeur était confié à la Senator. La Senator et sa variante coupé appelée Monza étaient les premières Opel disposant d’une suspension arrière à roues indépendantes et de ressorts de suspension hélicoïdaux à encombrement réduit dénommés mini-blocks.

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