Les banques ferment leurs agences… Cafpi ouvre les portes des siennes le 13 octobre



Le 13 octobre, le courtier ouvrira, en soirée, ses 210 agences, à l’intention de tous ses clients actuellement à la recherche d’un prêt immobilier. Ces personnes pourront venir seules ou accompagnées, d’amis également porteurs d’un projet immobilier. Quel que soit leur style de vie, ils seront tous les bienvenus.

Plus de 25 000 personnes attendues ! De fait, si un point fédère la grande majorité des Français, c’est l’aspiration à devenir propriétaire. Depuis sa création, Cafpi a financé plus de 1,5 million de ménages. Les courtiers sont donc des observateurs privilégiés. Ils accueillent avec la même bienveillance les personnes aux itinéraires les plus variés. Ils savent que l’on peut être très solvable, même si l’on n’est pas en mesure de présenter une année complète de bulletins de paie. Ils connaissent le potentiel des entrepreneurs qui débutent. Ils sont rompus à toutes les formes de situations maritales, à tous les cas de figures de familles recomposées. « Grâce à notre expertise, aujourd’hui 1/3 de nos nouveaux clients provient d’un emprunteur que nous avons accompagné jusqu’au bout du processus », explique Laurent Desmas, Président du Directoire de CAFPI.

Le taux ne fait pas tout. C’est là d’ailleurs qu’ils jouent pleinement leur rôle. Car leur métier ne se limite pas à trouver le meilleur taux, (ce qui, bien sûr, n’est pas un détail !). Mais là où ils sont irremplaçables, c’est pour rendre éligibles à une demande de prêt, le plus grand nombre de particuliers solvables. Surtout quand leurs dossiers ne correspondent que de loin aux critères d’évaluation des établissements financiers !

Le courtier en prêts, l’interlocuteur naturel, surtout quand ils sont compliqués ! Pour emporter l’adhésion des comités d’approbation des banques, il faut connaître la psychologie de ces derniers. Les courtiers, à l’exemple de Cafpi, en ont fait leur métier. Grâce à leurs entrées, ils permettent de concilier l’immobilier avec les vies de plus en plus complexes des particuliers.

Pas étonnant que désormais, le tiers des demandes de financements ou de regroupements de crédits provienne d’eux. Bientôt, comme aux Etats-Unis, la démarche naturelle consistera à passer d’abord par les courtiers. C’est une tendance de fond, elle ne s’arrêtera pas.



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