Jean Van de Velde, ambassadeur de l’UNICEF France, de retour de sa première mission terrain à Madagascar


L’icône du golf français, Jean Van de Velde, Ambassadeur de l’UNICEF France depuis le 5 juillet 2012, vient d’effectuer sa première mission terrain à Madagascar, où il est allé à la rencontre d’enfants vulnérables bénéficiaires de l’aide de l’UNICEF. « Au cours de mes 25 années de carrière professionnelle, j’ai eu l’occasion d’aller vraiment un peu partout dans le monde. Mais venir ici, être impliqué, discuter avec les gens, voir comment on peut les aider et ce que l’on va faire, être partie prenante d’une évolution, c’est vraiment très différent, » explique Jean Van de Velde.

Ecoles, accès à l’eau, séance de sensibilisation aux bonnes pratiques d’hygiène, centres nutritionnels, centres d’accueil d’urgence et de protection de l’enfant, enfants travailleurs dans les carrières d’une commune rurale… c’est sur un rythme soutenu que le golfeur français, Directeur de l’Alstom Open de France a enchaîné les visites des programmes développés par l’UNICEF, dans différents domaines, tels que la santé, l’éducation ou encore la protection des enfants. « Le plus marquant est le sourire des enfants et des adolescents. Même si certains sont très marqués et ont beaucoup de détresse, la majorité sourient et ont espoir en la vie. Leur vie est encore longue et il faut les accompagner. Essayons de leur construire un avenir meilleur et protégeons cette enfance !, » déclare-t-il.

Avec cette première mission, Jean Van de Velde a pu toucher du doigt les réalités vécues par les enfants de Madagascar et il est aujourd’hui d’autant plus décidé à plaider leur cause. « Le nerf de la guerre, c’est de lever des fonds – notamment au travers le Trophée Unicef, un tournoi organisé à l’échelle nationale, sur 44 épreuves, ouvert aux golfeurs licenciés amateurs, et dont les droits d’engagement sont reversés à l’UNICEF -. J’ai bien l’intention de passer beaucoup plus de temps et beaucoup plus d’énergie à faire que ces fonds ne fassent qu’augmenter, à sensibiliser le public et puis, bien entendu, revenir ici pour voir l’évolution et les progrès réalisés, » affirme-t-il.


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