EMBARQUEMENT IMMÉDIAT ! George Clooney, l’icône du cinéma US qui se renouvelle sans cesse, Jason Reitman un réalisateur en passe de suivre le même chemin que son illustre père, un casting en or, où chaque apparition est un bijou de cinéma, une histoire universelle qui concerne chacun d’entre nous… Voici quelques uns des éléments qui font que In the Air a été plébiscité par le public et la critique ! Envolez-vous aux côtés de George Clooney pour un voyage sans concession dans un monde dans lequel les distances sont peut-être abolies, mais le chemin vers les autres est un trajet de très longue haleine !
UNE PLUIE DE NOMINATIONS ET DE RÉCOMPENSES
In the Air a fait le tour des festivals de cinéma mondiaux avec toujours le même accueil enthousiaste suivi de prêt par celui des critiques. Comme son héros, le film a traversé les Etats-Unis de long en large, de Chicago à New-York, ou de Boston à Dallas pour se voir remettre les récompenses des prix les plus prestigieux des USA, que ce soit celui du tout puissant Syndicat des scénaristes à celui du Syndicat des acteurs. Ce succès grandissant et mérité a permis au film d’obtenir six nominations aux Oscars 2010, de celle du meilleur réalisateur à celle de la meilleure actrice pour la pétillante Vera Farmiga ou encore celle du meilleur acteur pour le comédien incontournable de la décennie, George Clooney. Consécration pour le film, ce dernier a également reçu le même nombre de nominations pour les célèbres Golden Globes et les BAFTA anglais, avec une victoire dans les deux cas décernée pour le meilleur scénario au jeune réalisateur et scénariste Jason Reitman.
L’ACTEUR DONT LE SEX APPEAL FAIT LE TOUR DU MONDE
Les superlatifs ne sont plus assez nombreux pour qualifier celui qui a été élu à deux reprises et à 10 ans d’intervalle l’homme le plus sexy de la planète par le magazine américain People (illustre honneur décerné deux fois depuis sa création, l’autre lauréat étant Johnny Depp) et entre dans le top 100 des personnalités les plus influentes de la planète chaque année depuis 2007. George Clooney, acteur, réalisateur, producteur, tout ce qu’il touche se transforme en or depuis que sa notoriété a explosé grâce au rôle du Docteur Doug Ross dans la série Urgences. Un sourire nonchalant, une présence qui prend tout l’écran, la force de la quarantaine, une voix grave qui fait vibrer ; tous les arguments jouent en la faveur de l’homme.
Dans In the Air, avec le rôle Ryan Bingham, consultant chargé de virer les employés que les patrons n’ont pas le courage de virer eux-mêmes, il renforce à nouveau cette image d’homme charmant mais inaccessible à la quarantaine séduisante, perdu dans ses sentiments et ses échanges aux autres surtout à la gent féminine. Il est sans attache, avec une famille quasi-inexistante, et vit dans un meublé sans âme. Il n’a aucun but réel sinon celui d’accumuler le maximum de Miles grâce à ses voyages en avion afin d’obtenir le sésame absolu : la carte honorifique décernée au peu d’élus ayant obtenu 1 million de Miles. Une vie finalement vide de sens mais prônée comme une philosophie jusqu’au jour où deux femmes entrent dans sa vie pour la bouleverser ; Natalie, jeune diplômée récemment embauchée dans sa société et Alex, une femme attirante rencontrée dans un hôtel et répondant exactement à ses attentes relationnelles.
JASON REITMAN, EN PLEINE ASCENSION
Jason Reitman avait ébloui la scène internationale en 2005 avec Thank you for smoking !, dans lequel il soulignait avec un cynisme remarquable et effrayant les travers et incohérences de la société de consommation dans ce qu’elle a peut-être de plus mortel : l’industrie du tabac. Deux ans plus tard il s’attaquait à une autre hypocrisie contemporaine, celle des filles mères avec l’enjoué et décomplexé Juno, porté par Ellen Page (Bliss, X-Men 3 …) et écrit par Diablo Cody (Unites States of Tara) succès critique et public qui le propulsait dans la constellation des réalisateurs à suivre absolument. Un titre confirmé à nouveau avec In the Air dont la trajectoire est toute aussi grande sinon plus que celle de son prédécesseur. À travers ces trois films, Jason Reitman construit une identité narrative et visuelle, une légèreté pour parler de choses graves, un recul et une finesse de propos pour aborder avec sourire des sujets de société qui n’en restent pas moins importants.
Cette notoriété pourrait s’arrêter là si on ne soulignait que le jeune réalisateur et scénariste tirait son patronyme d’un autre grand réalisateur américain, également producteur de In the Air : Ivan Reitman. Jason Reitman est effectivement le fils de celui qui est à l’origine de Ghosbusters, l’une des franchises les plus loufoques et cultes des années 80/90, qui renaît d’ailleurs actuellement de ses cendres avec le projet d’un troisième opus.
ELLES REGARDENT LE CIEL AVEC LES MÊMES RÊVES QUE VOUS
Les personnages féminins principaux du film sont autant de facettes de la femme contemporaine, avec ses rêves, ses envies, ses ambitions, ses illusions et ses déceptions. Alex et Natalie deux femmes diamétralement opposées et admirablement dessinées. Respectivement, Vera Farminga et Anna Kendrick apportent au film ses émotions. La première irradie dans son rôle de femme libérée et de maîtresse de George Clooney, tandis que Anna Kendrick, à l’affiche également du phénomène Twilight, est touchante dans ses faiblesses et sa force de conviction, impressionnante et naïve.
Alex semble détachée de tout, accomplie professionnellement, satisfaite dans sa non-relation à George Clooney, qu’elle utilise comme lui le fait. Elle serait une sorte de pendant masculin au personnage qu’il interprète, bien qu’une fois le vernis craquelé l’image ne soit pas si simple, ni parfaite. Natalie quant à elle est à l’aube de sa carrière professionnelle, encore bercée par la passion et les rêves d’une vie partagée entre ambition professionnelle et épanouissement personnel, apprenant auprès d’un George Clooney pygmalion ce qu’elle se refusera de devenir malgré tout.
Des rôles qui sont autant de facettes de la femme en général et composent la multitude de portrait tous ciselés avec minutie.
DES PERSONNAGES SECONDAIRES ET SOLAIRES
Chacun des seconds rôles de In the Air, du plus furtif au plus présent est une véritable pépite. À la fois tendres, tristes, cyniques ou plein d’humour, ce sont des visages connus ou qui sont en passe de devenir incontournables comme Zach Galifianakis, le héros barbu azimuté de la comédie déjantée et succès international, Very Bad Trip dont on avait déjà pu observer les facéties dans Reno 911. Il est ici un employé un tantinet névrosé mais irrésistible. On retrouve quelques fidèles de l’univers de Jason Reitman dont Jason Bateman (Arrested Development, Hancock) et JK Simmons (I Love you, Man, Oz, Spider-Man, New York Police Judiciaire) qui étaient tous deux touchants en pères dépassés par les évènements devant la caméra du réalisateur dans Juno.
Un autre habitué et une étoile montante de la comédie, Danny Mc Bride, qu’on avait pu voir en artificier fou dans Tonnerre sous les Tropiques, ou dans Les Femmes de ses Rêves, sans compter de nombreuses comédies du moment (Délire Express, Super Grave, Hot Rod) vient soutenir ce casting sur mesure dans lequel les femmes sont toujours à l’honneur. On retrouve en effet dans le rôle de la sœur de George Clooney, Melanie Linskey qui figure depuis plusieurs saisons au générique de Mon Oncle Charlie dans le rôle de Rose, la voisine psychopathe et psy de Charlie.
Des portraits de personnages tout en finesse qui donnent au film cette tonalité douce-amère dans laquelle chacun et chacune d’entre nous trouvera ses propres failles.
IN THE AIR
Sortie le 27 Mai 2010
DVD
Prix : 19.99€ TTC*
BONUS
• Scènes coupées
• Commentaire du réalisteur
• Et plus encore
Blu Ray
Prix : 29.99€ TTC*
BONUS
• Conception du générique
• Clip musical « Help yourself »
• Sad Brad
• Story Boards
• Bande-annonce cinéma
• Plus de 10 scènes inédites
• Commentaire du scénariste et réalisateur Jason Reitman
• Plus encore
*Prix de vente conseillé
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