« La France défend, non seulement, le rétablissement des droits de plantation mais aussi et surtout leur pérennité » a répondu le Ministre chargé des Affaires Européennes, devant le Sénat, au Sénateur Roland COURTEAU.
L’élu audois avait auparavant, plaidé devant les Ministres « cet important dossier », en précisant que « la semaine qui vient allait être décisive, avec le vote du Parlement Européen et la poursuite des discussions au Conseil ».
Roland COURTEAU a surtout indiqué que s’il fallait se réjouir des propositions de rétablissement d’un dispositif d’encadrement du potentiel viticole, par contre « les organisations professionnelles sont particulièrement critiques sur la question de la durée proposée par certaines instances européennes et qui prendrait fin en 2021 ».
« Une proposition inacceptable » a tranché le Sénateur qui a demandé au Gouvernement de se battre en faveur du caractère pérenne du dispositif d’encadrement et de régulation qui ne coûte pas un seul euro au Budget européen.