BNP Paribas CIB renouvelle son soutien à l’Institut Pasteur


En 2012, comme depuis 5 ans, BNP Paribas Corporate and Investment Banking a soutenu la recherche médicale et apporté son concours à l’Institut Pasteur dans 15 pays

BNP Paribas Corporate & Investment Banking (CIB) poursuit son partenariat avec l’Institut Pasteur et apporte un soutien financier à des équipes scientifiques implantées dans 15 pays, en accord avec la politique de mécénat de la Fondation BNP Paribas dont un axe majeur est la recherche médicale. Depuis 2008, plus de 2 millions d’euros ont été ainsi apportés à l’Institut Pasteur.

Les projets de recherche soutenus sont liés pour la plupart aux problématiques de santé publique propres à chaque pays. Les programmes que BNP Paribas CIB soutient comprennent par exemple l’élaboration d’un vaccin combiné contre la rougeole et le SIDA en France et au Royaume Uni, des travaux de recherche sur différentes maladies comme l’hépatite (au Japon, Espagne et Russie), le paludisme (au Brésil), la dengue (à Hong Kong), le colibacille (au Canada et en Belgique).

Les chercheurs de l’Institut Pasteur ont contribué en 2012 à plusieurs découvertes majeures du domaine médical. Ces découvertes sont rendues possibles notamment grâce aux dons effectués par les particuliers ou les entreprises qui représentent près de 30% du budget de l’Institut. Fort du programme de soutien mis en place par BNP Paribas CIB et la contribution de quelques autres de ses filiales, le groupe BNP Paribas a construit des liens solides avec l’Institut dont il est un des principaux partenaires..

En 2012, quelques exemples de découvertes significatives des chercheurs de l’Institut Pasteur :

– Les maladies bactériennes : Tuberculose, coqueluche, méningite, cholera…
Le rapport annuel du 19 avril 2012 montre comment les chercheurs de l’Institut Pasteur et de l’INSERM, en collaboration avec l’Université de Pise, ont franchi un grand pas dans la recherche scientifique, en développant un vaccin plus efficace contre la tuberculose.

– Par ailleurs, grâce à la coopération entre l’Institut Pasteur, le CNRS et la faculté de médecine de l’Université de Tsukuba au Japon, les chercheurs ont établi pour la première fois, dans quelle mesure l’activation d’un gène spécifique dans le Staphylocoque doré, est capable de résister à la méthiciline.

– Maladies génétiques : autisme, Sanfilipo…
Un partenariat international comprenant l’Institut Pasteur a abouti sur une découverte génétique qui confirme l’origine neurobiologique des troubles de l’autisme, jusqu’à présent relativement méconnus. L’étude démontre que des mutations génétiques perturbant la communication entre les neurones seraient directement impliquées dans la maladie.

– Maladies dégénératives : Alzeimer, Parkinson, maladies neuro-dégénératives…
Des caractéristiques propres aux neo-neurones ont été découvertes concernant leur capacité à assimiler des informations complexes. Cela pourrait ouvrir, à terme, des opportunités nouvelles pour le traitement de certaines maladies neuro-dégénératives

– Cancers.
Des scientifiques de l’Institut Pasteur et du CNRS ont récemment identifié une protéine capable de créer un dysfonctionnement, qui peut engendre à terme le développement de divers cancers. Annoncée le 24 février 2012, cela révèle le potentiel thérapeutique de cette découverte contre certaines tumeurs.
Sur le cancer de la vessie, une étude publiée par des chercheurs de l’Institut Pasteur, de l’Inserm, de l’université Paris Descartes et de Mines ParisTech montre comment renforcer les effets du BCG qui constitue, depuis 35 ans, le traitement standard des tumeurs à haut risque de récidive dans le cancer de la vessie. La validation de ce nouveau protocole thérapeutique permettrait de limiter les rechutes de ce cancer parmi les plus fréquents des pays industrialisés.

– Maladies parasitaires : paludisme, maladie de chagas, leshmaniasis…
Dans un communiqué du 27 septembre, des chercheurs de l’Institut Pasteur et du CNRS, en collaboration avec l’Imperial College de Londres, annoncent qu’ils ont synthétisé deux composés capables d’enrayer rapidement et de manière irréversible la croissance de P. falciparum durant toutes les phases sanguines de son cycle de vie, permettant d’arrêter la progression du paludisme.

– Cellules souches et médecine régénérative.
En outre, en 2012, cinq équipes de scientifiques dont une, de l’Institut Pasteur démontrent la capacité des cellules souches à adopter un “état dormant” lorsque leur environnement devient hostile. Cette caractéristique pourrait aboutir à de nouvelles thérapies pour le traitement de nombreuses maladies.

– Un nouveau centre de recherche.
Les maladies émergentes ou ré-émergentes (SRAS, grippe H1N1, Chikungunya…) se développent en permanence à travers le monde. Afin d’étudier ces phénomènes efficacement, l’Institut Pasteur a commencé en 2008 la construction d’un nouveau site dédié à l’étude des maladies émergentes. Le centre François Jacob a été inauguré le 14 novembre 2012.


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