Jamais le mal n’a été aussi proche, la peur aussi forte !
Depuis 2007, ceux qui aiment avoir peur au cinéma se réjouissent à l’annonce de chaque sortie d’un nouveau volet de leur saga horrifique préférée : “Paranormal Activity”. L’histoire d’une famille possédée par un démon, dont les manifestations paranormales sont filmées par des caméras de surveillance. Angoissante, effrayante et captivante, cette saga originale a conquis en quatre films des millions de fans dans le monde. Le dernier volet, “Paranormal Activity 4”, renouvelle le genre en transposant l’horreur dans une nouvelle famille et en utilisant des procédés de captation innovants. Si le premier sursaut se produit au bout de 8 minutes dans le premier opus, de 21 minutes dans le deuxième et de 12 minutes dans le troisième, à quel moment surviendra-t-il dans ce quatrième volet ? Pour le savoir, les spectateurs ont pu télécharger “Paranormal Activity 4” dès le 15 janvier dernier, tandis que les autres devront patienter jusqu’au 3 mars 2013 pour se procurer le DVD ou le Blu-ray, pour une version non censurée et accompagnée de bonus exclusifs.
Synopsis de “Paranormal Activity 4”
Ce quatrième volet se situe cinq ans après les faits qui se déroulaient dans “Paranormal Activity 2”, alors que Katie, possédée par le démon et après avoir tué sa sœur, enlevait son neveu Hunter. Rebaptisé Robbie, celui-ci s’installe avec sa tante dans une tranquille zone pavillonnaire. Mais Alex, la fille adolescente des voisins, voit d’un mauvais œil l’emménagement de ces nouveaux locataires, percevant des phénomènes étranges depuis leur arrivée. Alors que Katie est souffrante, ses voisins acceptent d’héberger Robbie : un service qui va leur être fatal…
Le cauchemar continue, plus terrifiant que jamais…
Tandis que le troisième volet revenait aux sources du phénomène maléfique, qui frappait toute une famille, “Paranormal Activity 4” se situe en 2011, soit cinq ans après les faits relatés dans le deuxième opus. L’histoire se concentre sur Hunter, alias Robbie, le neveu de Katie, l’héroïne des trois premiers volets.
Au générique : des morts qui n’ont pas été retrouvés, une jeune voisine suspicieuse, un étrange gamin capable de communiquer avec les forces obscures, des incidents troublants, une secte inquiétante… Un cocktail sombre qui fait monter l’adrénaline durant 1 heure 30 pour atteindre son paroxysme dans une scène finale hallucinante : 20 bonnes minutes de terreur absolue, avec des plans qui s’enchaînent à toute vitesse pour se terminer brutalement, laissant le spectateur accroché à son siège et soulagé que le cauchemar prenne fin.
Le caractère angoissant du film s’appuie sur l’intrusion d’événements surnaturels dans un cadre apparemment familier. Ainsi, “Paranormal Activity 4”, comme ses prédécesseurs, repose sur la peur que nous éprouvons tous pour ces petites choses qui perturbent notre quotidien : un parquet qui grince, une porte qui s’ouvre sans raison, un train électrique qui s’allume tout seul, un lustre qui se détache… Les multiples apparitions ou disparitions qui s’impriment sur les bandes des caméras, mais aussi ce petit garçon étrange et inquiétant finissent de faire monter la tension.
La saga culte, qui réinvente l’épouvante
Le succès de la saga “Paranormal Activity” repose sur un procédé innovant en matière d’épouvante, initié en 1999 par “Le Projet Blair Witch” : le “found footage”, une fiction donnant une illusion de réalité en utilisant des images filmées à partir de caméras amateurs ou de surveillance. Entre faux documentaire et intrigue surnaturelle, “Paranormal Activity 4” joue sur cette proximité avec le réel pour renforcer l’angoisse chez le spectateur.
Dans ce quatrième volet, les réalisateurs ont voulu apporter un nouveau souffle à la saga en utilisant les toutes dernières technologies de captation. Ainsi, ils renouvellent le genre en intégrant, en plus des caméras de surveillance utilisées dans les trois premiers films, d’autres types de systèmes vidéo comme la webcam d’un ordinateur portable, des périphériques de jeux d’enfant… De nouveaux procédés qui amplifient l’impression de réalité et distillent la peur par petites touches.
Le rythme est également soutenu par les nombreux “jump cuts” intelligemment utilisés, à l’image de celui où l’on voit, en plan large, le petit Robbie s’agiter dans son lit pour le retrouver au plan suivant face caméra : sursaut assuré ! De la même façon, si le spectateur est pourtant prévenu depuis trois films, cela ne l’empêche pas de se laisser surprendre chaque fois que quelque chose se passe au milieu d’un plan fixe, même s’il s’agit seulement d’un chat qui traverse le salon.
Les réalisateurs ont également voulu s’adresser directement à leur jeune public en mettant cette fois en scène des adolescents d’une quinzaine d’années et leur univers. Conflits avec les parents, flirts maladroits, blagues potaches, attrait pour les phénomènes surnaturels : tout est là pour que les fans se sentent… comme à la maison !
Il faut dire que, depuis ses débuts en 2007, “Paranormal Activity” captive et impressionne les ados du monde entier, avec 600 millions de dollars de recettes pour les trois premiers volets. D’ailleurs, un cinquième film est d’ores et déjà annoncé pour fin 2013.
Une tension savamment entretenue
Pour s’assurer un lancement retentissant, la saga, et tout particulièrement ce quatrième opus, s’appuient sur Internet et sur une communauté de fans très active. Dès 2007, date de sortie du premier volet, Paramount avait misé sur la Toile en diffusant des extraits du film et des premières projections montrant les spectateurs effrayés. Pour amplifier ce phénomène lors de la sortie de “Paranormal Activity 4”, la production a été encore plus loin en organisant via Facebook un vote mondial afin d’élire les vingt-cinq villes où le film serait projeté en avant-première. Un mot d’ordre a même circulé sur les réseaux sociaux pour mettre l’ambiance dans les salles pendant ces séances. Une stratégie payante puisque, avec plus de six cent mille entrées dès la première semaine d’exploitation en France, “Paranormal Activity 4” a explosé les records du genre. De plus, suite à ces séances, les premières réactions du public ont été filmées puis mises en ligne sur YouTube, certaines ayant été visionnées plusieurs milliers de fois.
Trois semaines avant la sortie du film, avait également été mise en ligne une plaquette infographique qui revenait sur les trois premiers volets de la saga. Un document étonnant, retraçant l’évolution du phénomène à grand renfort de chiffres, de visuels et de courbes, indiquant le nombre de victimes, le moment du premier sursaut…
Et, pour que la tension soit à son comble, le film est sorti en France le 31 octobre 2012, jour de la fête d’Halloween.
Les auteurs du crime
À 31 ans, Katie Dianne Featherston est essentiellement connue pour son rôle dans la saga “Paranormal Activity”. Elle y incarne Katie, seul personnage récurrent aux quatre volets, une jeune femme possédée par un démon. Grâce à son rôle dans “Paranormal Activity 2”, elle a d’ailleurs été nominée au MTV Movie Awards pour la performance la plus effrayante.
Les auteurs de “Paranormal Activity 4”, Chad Feehan et Christopher Landon Beau, n’en sont pas à leur coup d’essai en matière de films d’horreur. Le premier n’est autre que le scénariste et réalisateur de “Wake”, un thriller psychologique déviant peu à peu vers le surnaturel dans lequel un jeune couple est confronté à d’étranges phénomènes. Le second est le fils de Michael Landon, l’inoubliable Charles Ingalls de “La Petite Maison dans la prairie”, et l’un des deux scénaristes de “Disturbia” (“Paranoiak” en français), qui a obtenu le prix du meilleur film en 2007 aux Teen Choice Awards : l’histoire d’un jeune adolescent, interdit de sortie car placé sous contrôle judiciaire et qui soupçonne l’un de ses voisins d’être un serial killer.
Enfin, comme pour le précédent volet, ce sont Henry Joost et Ariel Schulman qui reprennent les manettes de la réalisation de “Paranormal Activity 4”, s’attachant cette fois plus à l’action qu’à l’explication. Très complices, ces deux touche-à-tout sont inséparables. Avant de se rencontrer, Henry Joost était directeur de la photographie et explorait les relations de couple dans “Treasure”, pendant qu’Ariel Schulman réalisait son premier court-métrage “Jerry Ruis, Shall We Do This?”. En 2010, ils se retrouvent sur un documentaire, “Catfish”, l’histoire d’un homme et d’une femme tombés amoureux sur le Net et qui vont se rencontrer pour la première fois. Ensemble, ils réaliseront par la suite une série de courts-métrages sur l’art contemporain, tels que “Metropolis II” en 2011 et “A Brief History of John Baldessari” en 2012. Leurs qualités de metteurs en scène les poussent alors vers la fiction, ils acceptent de terroriser le public en réalisant “Paranormal Activity 3”, préquelle de la saga, qui revient aux origines du mal, avant de poursuivre l’aventure avec “Paranormal Activity 4”.
“Paranormal Activity 4” – Sortie en DVD et Blu-ray le 6 mars 2013
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