Le viager de nouveau sous les feux de la rampe


Héritages parfois compliqués, des retraites qui ne font que de s’amenuiser et qui rendent immanquablement les fins de mois difficiles, une marché immobilier en léger repli en 2012 et une crise économique dont on ne voit pas le bout sont autant de facteurs qui remettent plus que jamais le viager au goût du jour. Mais en quels en sont les bénéfices pour ceux qui font ce choix ?

Le principe

Quand on veut vendre n’importe quel bien, il faut tout d’abord le faire estimer et ensuite le mettre à la vente proprement parlé. Le prix dépend bien évidemment de l’offre et de la demande. Alors, quand la demande est inférieure à l’offre comme c’est le cas pour l’année 2012 et probablement pour l’année 2013, et qu’en plus les banques sont extrêmement prudentes dès qu’il s’agit d’accorder un prêt immobilier, les chances de vendre sont minces.
Le viager est alors une alternative intéressante car elle ne nécessite pas de contracter un prêt. Certes, il y a un apport initial comme pour toute transaction quelle qu’elle soit, mais cela s’arrête là. Les mensualités suivantes sont en effet versées directement entre le vendeur et l’acheteur, comme établi dans le contrat de vente.

Quel intérêt pour le vendeur ?

Pour le vendeur, l’intérêt est d’avoir la garantie de vivre plus confortablement et de pouvoir subvenir seul à ses besoins jusqu’à la fin de sa vie. Ainsi, cela évite les fins de mois difficiles ou encore les situations dans lesquelles se sont les enfants qui doivent subvenir à leurs parents.
Enfin, quand on n’a pas d’héritier direct, c’est assurément la meilleure façon de profiter pleinement de son patrimoine.

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