Le film choc de l’année 2012 revient hanter les spectateurs chez eux en DVD et BLU-RAY le 27 juin prochain !
Inspiré de faits réels et tourné à la manière d’un faux documentaire, “Devil Inside” s’est imposé au box-office international comme l’un des plus grands succès de l’année 2012 dans le genre épouvante, glaçant le sang des spectateurs du monde entier. Derrière la caméra, William Brent Bell propose une plongée saisissante dans le monde mystérieux de l’exorcisme, à travers le combat d’une femme contre le Mal incarné. Ce film d’horreur dévoile ainsi les dessous les plus inimaginables des phénomènes de possession en s’appuyant sur un scénario original, construit autour de manifestations de démons multiples, mais aussi sur une ambiance insoutenable et des scènes spectaculaires. Particulièrement subversif et aussi terrifiant qu’audacieux, “Devil Inside” s’invite chez les amateurs de grand frisson à partir du 27 juin 2012 pour prendre possession de leur âme en DVD et Blu-Ray… Oseront-ils tenter l’expérience ?
Synopsis
Un soir de 1989, la police reçoit un appel d’une certaine Maria Rossi (Suzan Crowley), qui reconnaît avoir sauvagement assassiné trois personnes. Vingt ans plus tard, sa fille, Isabella (Fernanda Andrade), cherche à comprendre ce qui s’est vraiment passé cette nuit-là.
Elle se rend en Italie, à l’hôpital pour psychopathes Centrino où Maria est enfermée, afin de savoir si sa mère est déséquilibrée ou possédée par le diable. Pour cela, Isabella fait appel à deux jeunes exorcistes (Simon Quarterman et Evan Helmuth), qui utilisent des méthodes peu orthodoxes, mêlant la science et la religion. Ils devront alors affronter le Mal absolu, qui a pris possession de Maria : quatre démons d’une puissance redoutable…
Nul n’est à l’abri.
Le film phénomène qui a suscité surprise et effroi…
Véritable succès planétaire, “Devil Inside” est très rapidement devenu l’un des films les plus rentables, et ce bien avant sa sortie internationale. En effet, au box-office américain, il s’agit du cinquième meilleur démarrage en salles de tous les temps pour un film d’épouvante. Dès sa première journée d’exploitation, il a ainsi engrangé 2 millions de dollars de recettes pour la seule séance de minuit (alors que son budget n’était que de 1 million) et 34 millions pour le premier week-end. En France, dès le premier jour, il a également enregistré un meilleur démarrage que de nombreuses autres références en matière de films d’horreur à succès.
Il faut dire que “Devil Inside” a su créer le buzz comme rarement, notamment à travers son accroche : “Le film que le Vatican ne veut pas que vous voyiez”. Pour la petite histoire, ce serait un pied de nez de l’équipe du film, qui, pendant sa préparation, aurait envoyé le scénario à l’Église catholique afin de discuter de la question de l’exorcisme. Le Vatican n’ayant pas souhaité se prononcer sur ce sujet, semble-t-il tabou, le réalisateur aurait ainsi trouvé un slogan aussi adapté que provocateur.
Toujours pour attiser la curiosité, le public parisien a eu droit à une avant-première très particulière. C’est dans la Chapelle des Petits-Augustins, ancien couvent du XVIIe siècle et plus ancien bâtiment de l’École nationale supérieure des beaux-arts, que le film a été projeté. Et, au sein de ce décor mystique à souhait, les spectateurs ont été plongés dans une ambiance on ne peut plus angoissante : par une nuit noire et profonde, ils ont été accueillis par des nonnes aux yeux révulsés, dans une pièce éclairée à la lumière de bougies vacillantes, puis installés sur des bancs d’église… Ils se sont même vu remettre de mystérieux documents leur permettant de savoir s’ils avaient le profil pour être possédés et d’apprendre comment exorciser le mal : de quoi perdre définitivement le sommeil !
Avec une affiche démoniaque, un teaser intrigant et une bande-annonce terrifiante, “Devil Inside” annonçait clairement la couleur : voici un film noir, très noir ! Sans oublier le site Internet TheRossiFiles.com (“Les fichiers Rossi”) qui invite les spectateurs à poursuivre l’enquête sur le cas de l’héroïne et à prolonger l’expérience horrifique vécue dans les salles obscures. Pas étonnant, dans ces conditions, que “Devil Inside” soit classé en France parmi les films interdits aux moins de 12 ans en raison de scènes susceptibles de heurter la sensibilité d’un public jeune.
Les ingrédients du succès : un genre revisité sur fond d’intrigue religieuse
Digne héritier d’un genre cinématographique qui n’en est pas à sa première manifestation et initié par “L’Exorciste” dans les années 70, “Devil Inside” est comparé aux plus grands films d’épouvante. Il en décline d’ailleurs les codes avec une volonté frappante de réalisme. Ainsi, cette histoire maléfique emporte le spectateur dans le passé pour mieux cerner les causes d’un triple assassinat particulièrement sauvage sur fond de phénomènes de possession, de séquences d’exorcisme et de rebondissements inattendus. Entre hôpital psychiatrique et Église obscurantiste, des prêtres marginaux aux méthodes troubles tentent de lutter non pas contre un mais quatre démons d’une redoutable puissance, offrant un chapelet de scènes toutes plus effrayantes les unes que les autres…
S’inscrivant dans la vague des “found-footages” ou “faux documentaires”, avec un petit budget, mais un grand succès, à la manière de “Paranormal Activity” par exemple, “Devil Inside” dispose de tous les ingrédients pour créer le frisson et effraie autant qu’il séduit. Tourné en caméra subjective et monté façon amateur avec des plans volontairement saccadés, le film s’appuie sur de fausses interviews et images d’archives de scientifiques, de médecins et d’ecclésiastiques, qui donnent leur point de vue sur la possession démoniaque, apportant à l’histoire une crédibilité hors du commun.
Outre son aspect documentaire, “Devil Inside” aborde aussi des thèmes très prisés par les fans de films d’horreur. Misant sur une atmosphère inquiétante, des moments de suspense insoutenables, des détails absolument horrifiques et un rythme trépidant, il pousse le spectateur à s’immerger dans un univers malsain et dérangeant, le faisant sursauter de surprise et trembler d’effroi. Plongé en plein cauchemar, le spectateur se retrouve aussi en proie à des interrogations sur la foi et le doute ou encore à des débats scientifiques et religieux…
Le film offre d’ailleurs une vision singulière de la religion, soulignant la position d’une Église catholique qui tend à occulter les questions de possession et, plus particulièrement, les manifestations de démons multiples. Ainsi, l’asile romain s’avère des plus horrifiants et les deux prêtres travaillent à l’insu d’une hiérarchie qu’ils jugent obscurantiste. “Devil Inside” reprend également les principaux stigmates de la possession telle qu’admise par les théologiens : parler ou comprendre une langue inconnue, connaître des faits secrets du passé, révéler une force physique anormale… Un sujet qui suscite la polémique chez les initiés et qui montre que l’équipe du film est bien documentée, posant un regard critique sur la posture du Vatican face au rite de l’exorcisme.
Une équipe absolument démoniaque
“Devil Inside” est sorti tout droit de l’imagination bouillonnante d’un cinéaste qui a l’épouvante dans le sang : William Brent Bell. En 2006, il avait déjà écrit, réalisé et produit “Stay Alive”, un film tout aussi effrayant, relatant les aventures d’une bande d’adolescents piégés dans l’univers d’un jeu vidéo d’horreur. À son actif, s’inscriront très prochainement “The Vatican”, sujet pour lequel il démontre une posture aussi documentée que polémique, et “Wer”, l’histoire d’une avocate qui défend un homme suspecté d’avoir assassiné une famille entière et qui, la nuit venue, ne serait plus lui-même.
À ses côtés, le producteur exécutif Steven Schneider, qui est lui aussi un véritable adepte des films d’horreur. Ces dernières années, il a notamment travaillé sur les volets 2 et 3 de l’effroyable franchise “Paranormal Activity” ainsi que sur le spectaculaire “Insidious” ou encore sur “La Voix des morts : la lumière”, qui surfent tous les deux entre le monde des vivants et celui de l’au-delà.
Enfin, Lorenzo di Bonaventuran, également producteur exécutif, s’avère être un grand spécialiste des effets spéciaux. Il a notamment montré l’étendue de son talent dans le troisième opus de la saga à succès “Transformers”, dans le thriller d’espionnage “Salt” ou encore dans le genre action avec “G.I. Joe”.
Sortie le 27 juin 2012
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