Face au succès, Eat Sushi ouvre un troisième restaurant à Toulouse


L’ouverture d’un troisième restaurant Eat Sushi, à Saint-Cyprien, illustre le succès des sushis comme alternative saine dans la restauration rapide à emporter et en livraison. Après avoir lancé la tendance sushi en centre-ville, Eat Sushi s’étend vers la périphérie.

Leader des sushis à emporter et en livraison à Toulouse, Eat-Sushi a fidélisé plus de 25 000 clients. Chaque jour, plus de 700 Toulousains optent pour le poisson frais préparé à la dernière minute. Car c’est la spécificité Eat Sushi : les cuisiniers réalisent les sushis au fur et à mesure des commandes, avec des produits frais.

Depuis l’ouverture du premier restaurant Eat-Sushi à Toulouse, il y a deux ans et demi, la tendance s’est rapidement développée.

« Nous avons proposé une alternative à la pizza et au hamburger, et les Toulousains ont accroché », explique Julien Cabannes, à la tête des trois adresses toulousaines Eat-Sushi.

« Eat Sushi a ouvert la porte, ensuite d’autres enseignes sont arrivées en centre-ville. Mais nous poursuivons notre croissance, nous enregistrons chaque jour plus de 20 nouveaux clients sur chaque restaurant. Eat Sushi reste la référence pour le meilleur rapport qualité/prix puisque nous n’avons pas de stock, nous cuisinons à la commande. ».

L’ouverture d’un nouveau restaurant, dans le quartier de Saint-Cyprien, répond à une demande croissante à l’est de Toulouse. L’objectif premier est de raccourcir les délais de livraison pour les clients situés dans ce secteur. De plus, avec cette nouvelle adresse, Eat Sushi est désormais accessible aux habitants des communes limitrophes.

Une nouvelle adresse pour le 31300

Restauration sur place et livraison : 2 place Saint-Cyprien, 31000 Toulouse

Deux autres restaurants à Toulouse :
– 31 Rue des Frères Lion, 31000 Toulouse
– 10 Boulevard Lascrosses, 31000 Toulouse

Les chiffres clés Eat Sushi sur Toulouse
– Leader sur le marché des sushis à emporter et livrés sur Toulouse
– Chiffre d’affaires de 2,2 millions d’Euros en 2010 (prévision 2011 : 2,8 millions)
– 70% du chiffre d’affaires est lié à l’activité livraison
– 600 nouveaux clients par mois
– 300 commandes par jour (pour 1 à 2,5 personnes)
– Ticket moyen de la commande : 30 euros
– Plus de 10 000 clics/mois sur le site
– 45 salariés
– Croissance continue depuis 2009 :
– 13 juin 2009 ouverture du premier restaurant Eat Sushi à Toulouse
– 13 mai 2010 ouverture du deuxième restaurant
– 15 octobre 2011 ouverture du troisième restaurant

Un vrai service client

Eat Sushi s’engage à traiter toutes les demandes des clients insatisfaits et à y répondre au mieux. Pour chaque retard de livraison le restaurant rappelle le client, pour chaque insatisfaction un geste commercial sous la forme d’un avoir est proposé.

La qualité Eat Sushi

L’approvisionnement en produits frais et en fruits et légumes sélectionnés auprès des meilleurs fournisseurs locaux est quotidien. Toutes les préparations sont faites sur place, dans des cuisines qui respectent des normes européennes, et au moment où la commande parvient. En livraison la chaîne du froid est respectée grâce à des caisses bi-température.

Julien CABANNES, l’entrepreneur Toulousain

Après avoir grandi dans le Gers, élevé en pleine campagne au milieu des vaches et des canards, Julien Cabannes, jeune entrepreneur de 31 ans s’est lancé dans l’aventure Eat Sushi il y a trois ans. Il avait débuté dans l’entreprenariat avec la création de plusieurs petites sociétés (parc de distributeurs d’hygiène bucco-dentaire, tatouages éphémères …) mais cherchait une idée de projet à Toulouse.

Julien Cabannes a été séduit par le concept Eat Sushi, particulièrement adapté à Toulouse. « Hormis des pizzas et des hamburgers, Toulouse était une ville un peu « démunie » en termes de produits de restauration en livraison. Le sushi était également encore très peu connu à Toulouse. A partir de là, j’avais l’idée » raconte Julien Cabannes. « Restait à trouver la bonne enseigne. Avec Eat Suhsi, un réel gage de confiance s’établit entre le groupe et les franchiseurs. J’ai une bonne marge de manœuvre : j’expose mes idées, je propose des recettes, je fais remonter les informations du terrain ».

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