NAZCA Cultural Skin – Signes extérieurs de richesse intérieure…
La première ligne de vêtements dédiée au patrimoine artistique et culturel des civilisations anciennes
Couple dans la vie, les fondateurs de NAZCA Cultural Skin, Philippe Rameaux et Laurette Gillet, partagent ensemble la même passion pour l’Art et l’Histoire. Ils nourrissent une fascination profonde pour les superbes motifs traditionnels qui en sont les emblématiques figures de proue des civilisations anciennes. De cette passion commune nait un concept d’entreprise original : customiser des lignes de vêtements avec des tatouages inspirés des arts picturaux ancestraux.
C’est le statut « Auto-entrepreneur » qui est retenu, car le plus pratique et le moins risqué pour se lancer, bien que peu intéressant financièrement (Pas de récupération de la TVA, pas de déduction des frais,…)
L’aventure NAZCA Cultural Skin démarre. Le nom de NAZCA est un clin d’oeil aux fameuses lignes en relief que les ancêtres des Incas tracèrent jadis sur le plateau andin et qui ne sont visibles que par un survol aérien ; tout le concept de la marque réside dans cette notion de prise de hauteur qui permet d’admirer le fabuleux héritage artistique légué par le génie de l’Homme à travers le temps, les générations et les continents.
Par l’esprit et les valeurs humaines qu’elle véhicule, NAZCA Cultural Skin se veut une « alternative communautaire », un trait d’union entre les cultures du passé et notre société contemporaine. Premier jalon dans le développement du projet de Philippe et Laurette: le lancement d’une ligne de vêtements dédiée à la Polynésie.
Culture millénaire, la civilisation polynésienne et ses tatouages à la symbolique rituelle et sacrée complexe seront ainsi les premiers à illuminer débardeurs, sweat-shirts et T-shirts de l’esprit NAZCA Cultural Skin. Entreront ensuite dans la danse des motifs décoratifs, les pictogrammes des cultures précolombiennes, perse, celte et égyptienne. Un programme alléchant. Actuellement, les quantités encore modestes de pièces produites impliquent de fractionner la fabrication des vêtements en deux étapes. NAZCA Cultural Skin achète des articles neutres auprès de grandes marques de prêt-à-porter reconnues pour leur qualité : Fruit of the Loom, Hanes, B&C, etc., avant de les faire personnaliser avec des sérigraphies ou des broderies exécutées exclusivement par des fabricants français. La collection est rehaussée d’une gamme de stickers et de linge de bain coordonnés, produits en Franche-Comté par des artisans locaux. Ne disposant pas encore d’un réseau de distribution dédié, NAZCA commercialise sa ligne de vêtements via Internet sur sa vitrine marchande: http:// www.nazca-shop.com. Mais Laurette et Philippe ne désarment pas ; ils ont rallié à leur cause deux boutiques régionales partenaires, ClassiKObsession – CC 4AS à Belfort et Pro Equipement – Rue Etroite à Colmar, qui les soutiennent dans leur démarche.
Petite marque deviendra grande ? Pour 2012, les efforts du couple convergent vers un projet de développement d’une ligne masculine entièrement fabriquée par l’enseigne. L’objectif de cette orientation stratégique : gagner en indépendance vis-à-vis des fournisseurs, accéder à une plus grande marge de manoeuvre dans le choix de la coupe, des matières et des coloris, pour des volumes de création plus conséquents. Art celtique et art oriental seront prochainement ajoutés à la gamme. Le projet est audacieux, certes, mais mûrement élaboré.
Jeune marque provinciale en pleine ascension, NAZCA Cultural Skin fait partie des 35 projets de startups sélectionnés pour suivre la Chaire Entreprenariat de la grande école de management international ESCP Europe – un coup de pouce non négligeable pour booster l’industrialisation de sa fabrication (en zone EUROMED) et pérenniser son décollage commercial.
