L’UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture), agence spécialisée des Nations Unies, vient d’éditer, par le biais de sa Commission Océanographique Intergouvernementale (COI) un rapport intitulé, « Cinq ans après le Tsunami de l’Océan Indien ».
Cet important document de quelques 25 pages, rédigé en anglais, et destiné à l’ensemble des pays de la planète, fait état des « progrès réalisés dans la mise en œuvre des systèmes d’alerte aux tsunamis et autres risques océaniques, entre 2004 et 2009, à l’échelle du monde ».
On relèvera, notamment (page 14) sous le titre « l’évaluation et la prévention du risque Tsunami « qu’il fait référence au rapport établi par le « Senator » (dans le texte) Roland COURTEAU, au titre de l’Office Parlementaire Français d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques.
Rapport publié, on s’en souvient, en trois langues (français, anglais, espagnol), qui mesurait le risque tsunami en différents endroits de la planète et énumérait près de 30 propositions pour y faire face, notamment, sur les 11 000 Km de côtes françaises.
Rappelons également, que « les travaux du Sénateur avaient servi d’aiguillon aux Pouvoirs Publics», selon les propres termes des hauts fonctionnaires français, pour la réalisation d’un Centre d’ Alerte National et Régional aux tsunamis, en Méditerranée Occidentale.
Centre d’ alerte qui devrait être opérationnel fin 2011, début année 2012, selon les engagements pris par les Ministères de l’ Intérieur et de l’ Ecologie, au cours d’une audition publique organisée par Roland COURTEAU, en Juin 2009, au Sénat, et qui regroupait également, les présidents des Groupes Intergouvernementaux de Coordination, des Caraïbes, de l’ Océan Indien, du Pacifique et de l’ Atlantique – Nord- Méditerranée.
Website : www.roland-courteau.com