La secrétaire de direction qui deviendra déléguée syndicale, bénéficiera d’une prime exceptionnelle de la main généreuse de son PDG en octobre 2004. En effet, sur les 123 salariés que compte le centre Leclerc, elle seule touchera une prime d’un montant de 800 € !
Vu le montant de cette prime, on peut s’interroger sur les causes de son silence à son sujet (Tribunal, collègues et médias)
Peut-on savoir comment à été motivée le versement de cette prime et quel en a été son objectif ? Sur quels critères peut-on accorder une prime à une seule personne (pour 123 salariés).
Elle sera pourtant beaucoup plus regardante sur les faits et gestes de Monsieur Devaux (l’accusant de « magouilles ») concernant la formation de ses salariés : un devis de formation passé du simple au double a été pointé du doigt par cette personne, alors qu’il en allait de la sécurité des salariés et de l’Entreprise. Exemple : Aucun salarié de l’entreprise n’était jusqu’alors habilité à manipuler la nacelle du magasin.
Toujours au chapitre de la « générosité » du PDG (primes,…), on constatera, pour une autre salarié futur membre du syndicat FO, un versement de plus de 50 heures supplémentaires au mois de janvier 2004, soit près d’1/3 tiers des « heures normales », avec en plus un arrêt maladie au cours du mois. De plus, ces heures sont soit-disant effectuées à un poste qui n’est pas celui stipulé sur son contrat de travail… Elle non plus n’a pas été voir le syndicat à ce moment là pour se plaindre des heures supplémentaires effectuées à un poste qui n’est pas le sien…
Mr Devaux n’est toujours pas directeur à ce moment des faits.
Prime toujours : au mois d’août 2004, cette même personne va toucher une prime de bilan de 600 € (exercice 2003), alors qu’elle n’a travaillé que 6 mois dans l’entreprise.
Pour information : une caissière ayant 20 ans d’ancienneté, et ayant travaillé toute l’année sur le même poste recevra le même montant.
Souvent invoqué dans la Distribution, nous constatons qu’il s’agit bien là d’une prime distribuée par le PDG dite « de gueule ».
En 4 ans, Mr Devaux lors des entretiens avec le PDG n’a jamais compris le mode de calcul ni les critères de ces primes de bilan.
Ces révélations amorceront-elles la recherche puis la découverte de la vérité ?
Suite au communiqué d’hier : un oubli de taille ==> il n’y a jamais eu de salle de pause dans cette entreprise (123 salariés) !