Les six projets, de douze berceaux chacun, sont portés par Neokids, premier réseau de crèches Montessori en Europe. La pédagogie Montessori a, entre autres, pour objectif d’offrir un environnement stimulant et sécurisant à l’enfant. Situés en entrée de ville, faciles d’accès et disposant d’espaces extérieurs adaptés, les établissements seront situés dans des secteurs aussi variés que Jouy-sur-Morin (77), la Ferté-sous-Jouarre (77), Morvillars (90), Saint-Laurent-Médoc (33), Saint-Lyé (10) et Saint-Remy-sur-Avre (28).
Réalisées en ossature bois, permettant une haute performance énergétique et des délais de construction rapides, les micro-crèches offriront un confort et un bien-être absolus aux enfants comme au personnel encadrant.
Les premières ouvertures sont prévues pour octobre 2022. Outre un impact environnemental très faible, cet investissement est socialement responsable, puisqu’il doit permettre, en zones rurales et périurbaines, de financer un projet éducatif de grande qualité pour la petite enfance.
« Nous tentons de proposer à nos investisseurs des projets porteurs de sens et pas seulement des rendements performants. Ces projets de micro-crèches sont la preuve que l’on peut allier les deux », souligne Arnaud Romanet-Perroux, Directeur Général de Upstone.
Une opération rentable
Outre cet engagement sociétal, Upstone propose un rendement élevé à ses investisseurs. Sur la base d’un financement de 150 000 euros par crèche, ils percevront 10 % par an, sur une durée allant de 8 à 10 mois.
La première opération de financement pour la 1ère crèche, lancée lundi 2 mai, a atteint son objectif de 150 000 € en 1 min 40, laissant augurer un succès pour l’ensemble des levées fonds.
« Les opérations sont réalisées sans concours bancaire et ont déjà été vendues en VEFA à un institutionnel. Pour nos investisseurs, la sortie des opérations est donc assurée », indique Arnaud Romanet-Perroux.
Pour mémoire, en 2021, près de 2 500 investisseurs ont fait confiance à Upstone pour leurs investissements en crowdfunding immobilier, soit 20 % de plus qu’en 2020. L’année dernière, ils ont investi 19,6 millions d’euros sur 23 projets ce qui représente une moyenne de 850 000 euros par projet.
