Sans cette multitude de micro-organismes, sans ce foisonnement perpétuel indétectable à l’œil nu, nous ne serions rien. Aussi devons-nous prendre soin de notre patrimoine corporel : nous devons l’entretenir, le chérir et le nourrir jour après jour, afin de préserver en nous cette énergie qui nous permet d’avancer.
C’est pour cela, pour ces milliers de milliards de bonnes raisons, que Kremly a décidé aujourd’hui de s’inspirer de la tradition millénaire du kéfir, ce lait fermenté de légende. Consommer le kéfir de Kremly, c’est non seulement se faire plaisir, mais c’est également enrichir son alimentation d’un produit à la flore vivante et aux ingrédients d’origine naturelle.
UNE BOISSON MILLÉNAIRE, VENUE DU CAUCASE
Comme le yaourt à boire, le kéfir est issu de la fermentation du lait. Son nom, d’origine turque et caucasienne, signifie « qui donne du plaisir ». L’histoire de cette boisson se perd dans la nuit des temps et remonte probablement à l’époque où les tribus nomades du Caucase transportaient et conservaient le lait dans des outres en peau de bête appelées bourdiouk. Après plusieurs jours, le lait coagulait et on le mélangeait à une nouvelle quantité de lait frais de vache, de brebis ou de chèvre. C’est à cette étape qu’apparaissaient en surface de nombreuses perles blanchâtres et spongieuses : les fameux grains de kéfir, que l’on utilisait alors comme ferment. Les outres de kéfir étaient nouées par une corde au flanc des chevaux où elles s’agitaient au rythme de leur trot, ce qui accélérait la fermentation. De la mer Noire à la mer Caspienne, cette méthode de préparation demeurait entourée de mystère.