Depuis plus d’un an, nos soi-disant bergers politiques nous rassemblent sous leur aile protectrice pour nous garder du loup (virus ou politique) qui nous menace.
Comme le berger qui empêche son troupeau de divaguer pour mieux assurer sa sécurité, nos gouvernants restreignent nos libertés individuelles pour prétendument garantir notre santé et notre sécurité.
Comme le berger qui assure la subsistance de son troupeau qu’il empêche de se nourrir lui-même en paissant librement, nos gouvernants promettent d’assurer notre subsistance en contrepartie du blocage de notre économie et de notre liberté de travail, de notre liberté d’aller et venir, voire même de notre liberté de respirer.
Le loup est un danger pour les moutons. Pour se nourrir, il va en dévorer quelques-uns. Bien évidemment, en dévorer un est toujours trop, mais peut-être que le remède est pire que la maladie.
Le virus est probablement un danger pour nos concitoyens, il va en emporter quelques-uns.
Le berger élève son troupeau et le protège. Il l’élève pour … le tondre … le vendre et … l’emmener à l’abattoir.
Ce sera le sort de chacun des moutons de son élevage. Le danger du loup devient alors relatif, voire même minime…
Le pauvre mouton est davantage menacé par le berger que par le loup.
La métaphore doit-elle s’arrêter là pour que les moutons continuent à croire en leur soi-disant berger ?
La perte de nos repères peut nous rendre très vulnérables et donc prêts à croire n’importe qui, dusse-t-il nous mener à l’abattoir.
Aujourd’hui, nous devons nous interroger sur le danger qui nous menace réellement : un pseudo loup, un mouton noir soi-disant complotiste ou une vraie atteinte à nos libertés ?
La menace que l’on ne voit pas encore ne serait-elle pas plus dangereuse que celle que l’on nous montre ?