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Direction les sommets : les électriques Opel à l’aise en montagne

Selon certains, les voitures électriques ne sont destinées qu’à la ville. Mais dans la réalité, ce n’est pas le cas. Les modèles électrifiés d’Opel montrent qu’ils sont tout aussi à l’aise sur des parcours montagneux ou vallonnés, grâce à leur couple disponible immédiatement, leur bonne traction ou leur récupération d’énergie avec effet de freinage en descente qui leur confère une grande autonomie. Sans oublier qu’ils affichent une tenue de route impressionnante, qui profite d’un centre de gravité placé bas.

Le roi des cimes est l’Opel Grandland X Hybrid4 (consommations WLTP1 : 1,4-1,3 l/100 km, émissions de CO2 30-33 g/km ; les deux mixtes). Avec une puissance système de 221 kW (300 ch) provenant de la combinaison d’un moteur thermique et de deux moteurs électriques, le SUV de la marque allemande a toujours de la ressource, notamment en montée. La transmission intégrale électrique assure une excellente traction dans toutes les conditions. Cela rend la conduite non seulement agréable, mais aussi sûre. Monter et redescendre est facile, car les moteurs électriques apportent leur concours en récupérant l’énergie et en participant au freinage. En descente, les moteurs électriques des essieux avant et arrière deviennent des générateurs et convertissent l’énergie cinétique en électricité. Si le conducteur passe en mode de conduite B, la récupération et la décélération sont accrues. La batterie de 13,2 kWh est rechargée à un coût nul – et l’énergie est économisée pour la prochaine montée.

L’effet de ce type de freinage est sensible. En descente, le conducteur n’a nul besoin de rétrograder ou de freiner fortement. Le Grandland X hybride rechargeable aborde les descentes à vitesse modérée, sans accélérer dès que la pente devient plus raide. En effet, le voltage de recharge des moteurs électriques augmente en parallèle, et avec lui la résistance au roulage. Ainsi, il est en général inutile d’intervenir sur la pédale de frein avant d’aborder un virage dans les descentes légères à moyennes ; grâce à la récupération accrue, le véhicule ralentit de lui-même. C’est une qualité particulièrement agréable que les voitures à moteur conventionnel ne peuvent concurrencer, puisqu’elles ne présentent pas intrinsèquement de frein moteur dans les descentes.

En fait, tous les véhicules électriques Opel profitent du principe de récupération d’énergie, qui leur confère un comportement extrêmement agréable en descente. La vivacité du comportement des petites Opel Corsa-e et Opel Mokka-e, particulièrement agiles, sont des avantages supplémentaires dès que l’on aborde un profil vallonné, un autre avantage « made in Rüsselsheim ». La batterie de chaque Opel électrique est installée dans le soubassement de la carrosserie, ce qui leur donne un centre de gravité particulièrement bas. Ainsi, la caisse ne prend trop de gite et la voiture semble aborder les virages comme sur des rails. La Corsa-e et la Mokka-e sont toutes deux propulsées par un moteur électrique de 100 kW (136 ch) qui entraîne les roues avant. Les voitures électriques à batterie disposent d’un couple de 260 Nm, disponible depuis l’arrêt. Sur les routes sinueuses, ces qualités font de la Corsa-e – gagnante du « Volant d’or 2020 » – et du Mokka-e des champions de la relance.

Les utilitaires légers ont aussi de la ressource dès qu’il s’agit de grimper. L’Opel Combo-e et l’Opel Vivaro-e reçoivent également le moteur électrique fort d’une puissance de 100 kW (136 ch) et d’un couple de 260 Nm. Leurs batteries sont également installées très bas dans le véhicule – ce qui est particulièrement important pour la sécurité lorsque les véhicules roulent à pleine charge. Avec sa batterie plus importante de 75 kWh, le Vivaro-e dispose d’une autonomie d’environ 330 kilomètres en WLTP2. Bien sûr, une telle autonomie est impossible si le véhicule ne fait que monter. Mais après chaque sommet, il y a une descente. Si un véhicule diesel ou à essence descend une pente avec un réservoir (presque) vide, il finira par s’arrêter en dépit de la faible consommation de carburant. Mais pas le Vivaro-e. Le moteur électrique de l’essieu avant devient un générateur, qui ralentit le véhicule en descente tout en rechargeant partiellement la batterie. Une fois dans la vallée, le véhicule a alors suffisamment d’énergie à bord pour atteindre la prochaine borne de recharge rapide. Et pendant que le Vivaro-e recharge sa batterie à environ 80% en 45 minutes, le conducteur peut faire une pause (30 minutes seulement pour recharger à 80% la version 50 kWh de la batterie). Et le Vivaro-e peut alors reprendre la direction des sommets !


[1] Les données relatives à la consommation de carburant et aux émissions de CO2 ont été calculées en utilisant la méthodologie de la procédure d’essai WLTP (R (CE) n°715/2007, R (UE) n°2017/1151).

[2] Les chiffres de consommation de carburant et d’émissions de CO2 mentionnés ont été calculés à l’aide de la nouvelle procédure d’essai mondiale harmonisée pour les véhicules légers WLTP (règlement UE 2017/948). L’autonomie réelle peut varier en utilisation quotidienne et dépend de divers facteurs, notamment du style de conduite adopté, des caractéristiques de l’itinéraire, de la température extérieure, de l’utilisation du chauffage et de la climatisation et du pré-conditionnement thermique