Qui est le héros de la dernière vidéo sur les technologies Nissan au Japon ? Si vous donnez votre langue au chat, c’est que vous avez trouvé. Animaux domestiques favoris des japonais, les chats illustrent les technologies de sécurité de la DAYZ, la micro-citadine japonaise de Nissan. Toutes ces technologies sont issues de la vision de marque Nissan Intelligent Mobility, qui vise à anticiper la manière dont les véhicules sont conduits, motorisés et intégrés à la société.
Chat échaudé craint l’eau froide : si vous accumulez les expériences malheureuses lors de manœuvres périlleuses, le système AVM – vision 360° et ses quatre caméras est fait pour vous. Voilà de quoi se garer entre deux poteaux sans risquer de coup de griffe sur la carrosserie…
Après la LEAF 100% électrique ou les crossovers QASHQAI et JUKE, la Nissan DAYZ bénéficie désormais de la conduite assistée ProPILOT. Celle-ci gère la direction, les distances de sécurité et le maintien dans la file, sur voies rapides : voilà de quoi adopter une conduite patte de velours.
Et un radar à ondes millimétriques évalue désormais vitesse et distances des deux véhicules qui précèdent, pour de meilleures anticipations. C’est encore plus facile de jouer au chat et à la souris dans le trafic du Shûto Expressway, le périphérique de Tokyo.
D’ailleurs, si le trafic ralentit brusquement, pas de quoi fouetter un chat : la technologie Nissan ProPILOT gère aussi les embouteillages, et ce jusqu’à l’arrêt. Et dans une circulation japonaise chaotique, où une chatte ne retrouverait pas ses petits, les coups de frein et la circulation en accordéon sont nombreux : le freinage d’urgence intelligent veille.
Et quand bien même conducteur estimerait qu’il a d’autres chats à fouetter, la technologie Nissan est là : surveillance de la vigilance du conducteur, lectures des panneaux routiers et détection des objets en mouvement.
Enfin, avec ses projecteurs LED adaptatifs -oui, sur une micro-citadine- la Nissan DAYZ la joue œil de lynx en conduite nocturne. Il ne reste plus qu’à écouter les doux ronronnements du moteur, puisque le Nissan DAYZ bénéficie d’une motorisation mild-hybrid, tout comme le futur Nissan QASHQAI.
Le segment des Kei-Cars
Le segment des Kei-Cars, ou mini-voitures, pèse plus du tiers du marché automobile au Japon, et n’existe que dans ce pays. Les kei-cars se reconnaissent facilement à leur plaque d’immatriculation jaune, à leur encombrement réduit –60 cm de longueur de moins qu’une citadine MICRA fabriquée en France- et à leur motorisation à la cylindrée et à la puissance plafonnées. Elles sont plébiscitées pour les nombreux avantages qu’elles procurent : taxation très limitée, économie à l’usage, encombrement réduit, tout en conservant les technologies que l’on peut retrouver sur les autres segments du marché.
Environ 1,9 million de kei-cars sont vendues chaque année, sur un marché total de 5,2 millions de véhicules au Japon : 27,6% pour les voitures particulières, à 1,45 million d’immatriculations; et 7,6% pour les utilitaires, à 400 000 immatriculations. Les Kei-Cars répondent enfin à plusieurs critères règlementaires :
- longueur maximale : 3,40 m
- largeur maximale : 1,48 m
- hauteur maximale : 2,00 m
- cylindrée maximale : 660 cm3