Fidèle à sa politique de développement international, la Fondation BNP Paribas lance « Dream Up ». D’une envergure inédite, ce programme se déroulera dans 26 pays des cinq continents, en liaison étroite avec l’ensemble des réseaux de BNP Paribas. Il permettra à plus de 30 000 jeunes, en situation de précarité ou de handicap, de bénéficier d’un accompagnement dans une activité créative grâce au tissu associatif local.
« DREAM UP » : UN ESSAI TRANSFORMÉ !
En 2012, sous le label Smart Start, la Fondation BNP Paribas initiait la phase test de ce programme.
Déployé dans 8 pays d’Europe et 4 pays d’Asie, plus de 7 000 enfants ont ainsi pu en bénéficier pendant 3 ans (2012-2014). Forte du succès de cette expérience pilote, la Fondation BNP Paribas a décidé de faire de ce programme le porte-drapeau de sa politique de solidarité internationale en l’étendant à 26 pays[1] sur l’ensemble du globe sous le label « Dream Up ».
UNE TRENTAINE DE PROJETS D’ASSOCIATIONS FINANCÉS SIMULTANEMENT PENDANT 3 ANS DANS 26 PAYS POUR SOUTENIR L’EDUCATION DE PLUS DE 30 000 ENFANTS ET ADOLESCENTS
Concrètement, ce programme d’éducation par l’activité artistique va permettre à plus de 30 000 enfants de par le monde de bénéficier pendant 3 années scolaires d’un accès à des disciplines telles que la musique, les arts plastiques, la danse, le cirque, le théâtre, la photo, la vidéo…
Une trentaine de projets menés par des organismes à but non lucratif a été directement sélectionnée par les correspondants BNP Paribas dans chaque pays d’implantation du groupe. Ce sont eux qui ont identifié l’association locale qui leur paraissait développer les actions les plus intéressantes et en adéquation avec les objectifs de Dream Up. La finalité est de favoriser l’égalité des chances, d’offrir aux jeunes l’apprentissage ou le perfectionnement d’une pratique artistique et d’encourager l’engagement bénévole des collaborateurs BNP Paribas.
Pour être éligible, chaque projet devait bénéficier à des enfants et jeunes, âgés de 5 à 18 ans, en situation de précarité, d’échec scolaire ou de handicap, et s’inscrire dans un quartier ou une ville proche d’une implantation BNP Paribas pour offrir la possibilité aux collaborateurs présents localement de s’y associer. « La politique de mécénat de la Fondation BNP Paribas est de soutenir les projets pour trois ans au minimum car le mécénat ne peut s’inscrire que dans la durée : il faut du temps pour se connaître, trouver des idées, mettre en place des procédures… C’est un vrai compagnonnage » précise Jean-Jacques Goron. Comme dans la phase pilote, chaque programme retenu est doté d’une subvention de 20 000 € par an, pendant trois ans.
LA PRATIQUE ARTISTIQUE : UN OUTIL ÉDUCATIF DE CHOIX
Une attention toute particulière a été portée aux projets qui ont un impact positif sur la scolarité des élèves en termes notamment d’assiduité et de progrès. Les projets soutenus par « Dream Up » ont tous en commun de permettre l’apprentissage d’une ou plusieurs pratiques artistiques de manière régulière en prévoyant au moins un temps de restitution publique (projections de films, concerts, festivals, représentations de cirque, de danse,…) en présence de leurs familles, proches, et parfois de professionnels ou artistes.
DES PROGRAMMES D’UNE GRANDE DIVERSITÉ
Qu’il s’agisse d’enseigner la pratique musicale et l’expérience de la représentation en public à de jeunes enfants de La Favela Monte Azul de Sao Paulo, d’éduquer à l’image et à son décryptage des petits Français, d’apprendre le chant à des adolescents turques ou le théâtre shakespearien à des jeunes de Johannesburg, l’objectif poursuivi est le même : ouvrir de nouveaux horizons à des enfants défavorisés et/ou en situation de grande précarité pour les aider à rêver et se construire.
Les ateliers ou cours peuvent avoir lieu pendant le temps scolaire, les week-ends et les vacances ; dans l’enceinte d’une école, d’un collège ou d’un lycée, de l’association, voire de services pédiatriques des hôpitaux pour certains. « Nous avons privilégié les projets qui favorisent l’ouverture culturelle. Je pense par exemple à une association rencontrée à Singapour, la « Little Arts Academy » qui offre aux enfants une pratique artistique pluridisciplinaire. Le choix, la possibilité qui leur est offerte de « s’essayer » aux différentes pratiques avant de déterminer ce qui leur plaît et où vont leurs talents nous a séduits. Nous allons aussi soutenir avec « Dream Up » le projet éducatif d’un Ballet de San Francisco qui propose aux jeunes en situation de précarité de pratiquer la danse contemporaine » conclut Jean-Jacques Goron.
La quasi-totalité des projets du Programme « Dream Up » démarrera simultanément en septembre 2015.