Hier matin, SEAT a présenté la nouvelle Leon SC au Salon de l’Automobile de Genève. La Leon SC fait partie de la deuxième phase de lancement de la famille Leon, qui pour la première fois est déclinée en plusieurs carrosseries. La nouvelle version 3 portes jouera un rôle clé dans la stratégie SEAT en augmentant la couverture du marché sur le segment le plus populaire en Europe. Elle répondra aux besoins de nouveaux clients désireux d’acheter un véhicule plus dynamique et fonctionnel. Avant la fin de l’année, SEAT lancera également une version break (ST) de la Leon.
Ce matin, James Muir, Président SEAT S.A. a décrit la Leon SC comme un véhicule « dessiné pour être la plus belle voiture sur son segment ». Il a souligné l’excellent accueil offert à la Leon 5 portes, dévoilée au dernier Salon de Paris. « A ce jour, nous avons livré plus de 10 000 véhicules et avons un carnet de commande de 15 000 unités ». James Muir a également ajouté que « SEAT est en pleine mutation avec le lancement de produits modernes, attractifs et très compétitifs. Et c’est seulement le début… Nous avons encore de nombreuses surprises qui raviront nos clients et participeront activement à la stratégie de croissance de Volkswagen Group ».
La nouvelle Leon SC sera produite à Martorell (Barcelone), sur la plateforme modulable MQB de Volkswagen Group. Elle présente un empattement réduit de 35mm par rapport à la version 5 portes. L’utilisation de matériaux modernes pour la production font de la Leon SC le véhicule le plus léger de sa catégorie – 110kg de moins que l’ancienne Leon -, ce qui lui offre un meilleur comportement et une meilleure efficacité. Tout comme la version 5 portes, la Leon SC est équipée de moteurs s’échelonnant de 86 à 184 ch. Le moteur 1.6 TDI 105ch CR avec le système Start/Stop ne rejette que 99g/km de CO2.
La nouvelle Leon SC sera commercialisée au cours du second trimestre.
OFFENSIVE PRODUIT : LES VENTES DE SEAT EN HAUSSE DÉBUT 2013
Début 2013, SEAT a récolté les bénéfices des lancements des nouvelles Mii, Ibiza, Toledo et Leon en 2012. En janvier et février 2013, les livraisons de SEAT dans le monde ont augmenté de 14%, avec des hausses considérables en Allemagne, Espagne, Royaume-Uni, Mexique et Algérie. En outre, la marque SEAT présente la plus forte croissance en Allemagne ; elle vient d’intégrer le top 10.
La marque espagnole a continué sa croissance en dehors de l’Europe au cours des deux premiers mois de l’année. En 2012, les ventes SEAT hors Europe ont augmenté de 46%, représentant 18% du total des ventes – 7 points de plus qu’en 2011 – grâce aux résultats sur le marché mexicain, où SEAT a dépassé la barre des 20 000 unités ; en Algérie, les ventes ont quadruplé en seulement un an, comptabilisant 16 000 véhicules ; en Israël, où depuis 2008 le nombre d’unités vendues a quintuplé, dépassant les 6 000 unités. En janvier et en février 2013, les ventes de SEAT hors Europe ont augmenté de 37% par rapport aux mêmes périodes en 2012. Aujourd’hui, une voiture sur cinq est vendue en dehors de l’Europe.
MII ECOFUEL, LE VÉHICULE LE PLUS PROPRE DE L’HISTOIRE DE SEAT
SEAT élargit la gamme Mii avec une version EcoFuel, voiture de la marque aux émissions de CO2 les plus basses de son histoire. Ses émissions – seulement 79g/km – en font la meilleure de sa catégorie. La Mii EcoFuel est la solution écologique pour la conduite en ville. C’est le premier modèle de la marque à fonctionner au Gaz Naturel (GNV), offrant une grande efficacité et des coûts d’entretien limités. Avec une consommation de seulement 2.9kg de GNV aux 100km, les coûts en carburant pour parcourir cette distance sont de moins de 3€.
Le moteur de la nouvelle SEAT Mii EcoFuel a été conçu spécifiquement pour fonctionner au GNV mais il est également adapté pour fonctionner à l’essence. L’autonomie de la Mii EcoFuel avec le plein de GNV (11kg) est de 380km. Le moteur essence avec un réservoir de 10 litres augmente l’autonomie de 220km, faisant passer à 600km l’autonomie totale du véhicule. La Mii EcoFuel est déjà commercialisée sur des marchés tels que l’Allemagne, l’Italie, l’Autriche, la Suisse et les Pays-Bas, où il existe déjà des réseaux bien développés pour répondre à la demande en gaz naturel.
