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La classe S de Mercedes-Benz: l’incarnation de l’ingénierie automobile


La tradition de la Classe S de Mercedes Benz

Fascinante dans la somme de ses qualités
Le véhicule de luxe le plus vendu dans le monde
Une tradition unique depuis les débuts de la marque

La Classe S de Mercedes-Benz affiche une longue et riche tradition qui remonte aux débuts de la marque Mercedes au début du 20è siècle. Depuis lors, chaque modèle a façonné les avancées automobiles de son temps. Toutefois, la réputation de la marque Mercedes-Benz de proposer des véhicules haut de gamme avec un accent sur le luxe, le confort et la sécurité a été établie bien avant que la Classe S obtienne sa désignation officielle.

Cette tradition suit la philosophie selon laquelle une voiture est toujours le reflet d’une époque. Après tout, avec chaque nouvelle génération de véhicules haut de gamme, Mercedes-Benz a toujours apporté des réponses convaincantes aux souhaits et aux besoins de chaque époque spécifique. Pour résumer l’importance de l’histoire du modèle jusqu’à aujourd’hui, on pourrait dire que la Classe S et ses prédécesseurs sont et ont toujours été, l’incarnation de la voiture parfaite.

Fascinante dans la somme de ses qualités

Grâce à une technologie innovante, un confort exigeant et des systèmes de sécurité avant-gardistes à chaque génération, le modèle phare de Mercedes-Benz est considéré comme un pionnier de l’ingénierie automobile, et de l’industrie dans son ensemble car de nombreuses caractéristiques techniques proposées par Mercedes-Benz pour la première fois dans une voiture Classe S de série ont été adoptées par la suite par d’autres fabricants automobiles.

Ce rôle de pionnier est une constante de l’histoire de la marque et est aujourd’hui encore un aspect important de Mercedes-Benz. Il n’existe pas vraiment d’autre véhicule que la Classe S qui soit aussi étroitement lié à Mercedes-Benz. En raison de la quantité de ses caractéristiques, c’est une référence pour toute la marque Mercedes-Benz et elle est considérée comme étant la meilleure de sa catégorie dans toute l’industrie.

La Classe S incarne l’image des véhicules Mercedes-Benz premium: c’est l’essence automobile d’un style de vie caractérisée par les normes les plus élevées de mobilité et d’individualité et elle est synonyme de réussite et de bon goût absolus. Ce n’est pas pour rien que la Classe S a été proclamée à de nombreuses reprises meilleure voiture au monde.

Le véhicule de luxe le plus vendu dans le monde

Depuis 1951, lorsque la production de berlines de luxe a repris pour la première fois depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale, Mercedes-Benz a vendu plus de 3,5 millions de berlines haut de gamme. Cela fait de la classe S et de ses prédécesseurs le modèle connaissant le plus grand succès dans ce segment. La série 221 du modèle actuel perpétue cette réussite avec plus de 500 000 véhicules vendus depuis le lancement sur le marché à l’automne 2005.

Une tradition unique depuis les débuts de la marque

La Classe S de Mercedes Benz s’enorgueillit d’une tradition unique. Depuis les débuts de la marque Mercedes au début du 20è siècle, sa gamme de modèles se concentre sur des véhicules premium. Dès le départ, Mercedes-Benz a dominé le segment du luxe, haut de gamme et a façonné les avancées automobiles à toutes les époques, comme aucune autre marque.

De la W 187 à la « Mercedes Ponton » (1951 à 1959)

Les ancêtres directs de la Classe S remontent à l’après-guerre avec le type 220 (W 187) qui marque le retour de Mercedes-Benz dans le secteur du luxe en 1951 – soit six ans après la fin de la Deuxième guerre mondiale et une fois la première phase de la reconstruction allemande achevée. En 1954 est apparu un modèle complètement nouveau avec la même désignation. Ce nouveau modèle 220, également appelé en interne 220 a (W 180), était le premier modèle à six cylindres de Mercedes-Benz avec une carrosserie monocoque. La ligne ultra-moderne et spacieuse de la Ponton proposait des niveaux de confort jusque-là inconnus. Avec le lancement du type 220 S en 1956, une version revisitée et plus puissante, la désignation « S » est devenue une marque permanente des noms des modèles haut de gamme Mercedes-Benz, soulignant ainsi le statut spécial de la Ponton six cylindres. En 1958 a eu lieu le lancement de la 220 SE (W128), une version encore plus puissante du modèle phare, grâce à l’injection de carburant. Comme pour la luxueuse limousine 300 d (W 189) présentée une année auparavant, les performances et l’efficacité du véhicule ont été améliorées par une injection par tubulure d’admission.

De la « Fintail » à une berline hautes performances (1959 à 1972)

Les modèles « fintail » présentés en 1959 (220, 220 S et 220 SE (W 111)) doivent leur surnom aux ailerons raffinés ornant l’aile arrière. En raison de leur fonction d’aide au stationnement, on les appelait également officiellement des « lignes de vue ». La nouvelle génération haut de gamme représentait une étape très importante de l’histoire de l’automobile, car c’était la première fois que la carrosserie de sécurité avec des zones d’impact conçue par Béla Barényi était utilisée sur une voiture produite en série. Le modèle phare présenté en 1961, la 300 SE (W 112), était équipé de série de suspensions pneumatiques et de la nouvelle transmission automatique de Mercedes-Benz, et sa version plus longue sortie en 1963 marque le début d’une tradition des berlines de luxe par Mercedes-Benz: l’empattement, qui mesure alors 10 centimètres de plus, confère aux passagers arrière un plus grand espace pour les jambes et un confort accru. Les berlines 108 et 109, qui ont remplacé la « Fintail » de 1965, étaient caractérisées par un design élégant et intemporel et de grandes vitres. En plus des modèles équipés des ressorts en acier traditionnels, appelés en interne série 108, on comptait également une variante avec suspensions pneumatiques de la série 109, qui dès le départ était également proposée avec un empattement avec 10 cm de plus. Parmi les points forts on peut citer la 300 SEL 6.3 présentée en 1968. Le nouveau modèle haut de gamme de la série était équipé du moteur V8 très performant de la berline 600 de Mercedes-Benz, une voiture hors norme. En plus d’un confort exceptionnel et de finitions intérieures luxueuses, les performances de cette voiture rivalisaient également avec celles d’une voiture de sport.

Modèles de la série 116 (1972 à 1980)

Le nom de la 116 de nouvelle génération lancée en 1972 reflétait également ce qui était à l’ordre du jour chez Mercedes-Benz depuis des décennies : toutes les berlines de luxe avec un « S » dans la désignation du modèle étaient désormais officiellement appelées « Classe S ». Le nouveau nom correspondait parfaitement à toute une palette d’innovations qui définissaient de nouvelles normes en termes de sécurité et de confort. Le concept de sécurité très complet comprenait un réservoir anticollision, un volant de sécurité à quatre branches, des vitres latérales anti-saletés, de plus grands phares, des clignotants distinctifs et des phares arrière nervurés anti-saletés. En 1977 débute l’ère du diesel dans la catégorie premium avec la 300 SD, bien qu’au départ cela était réservé au marché nord-américain. Le diesel de luxe était également la première production de série avec un moteur turbodiesel. Dès 1978, la Classe S était le premier véhicule produit en série équipé de l’ABS (anti-lock braking system), qui garantissait que le véhicule réponde entièrement à l’action de direction du conducteur même en cas de freinage d’urgence. Véritable succès mondial, cette innovation révolutionnaire est désormais la norme dans toutes les catégories de véhicules. La Classe S a souligné son statut de référence de l’ingénierie automobile et la désignation de son modèle est devenue un terme générique pour les véhicules haut de gamme.

Modèles de la série 126 (1979 à 1991)

Le transfert de technologie de la Classe S vers les autres modèles Mercedes-Benz et vers des véhicules concurrents avant de devenir la norme technologique généralement acceptée s’est poursuivi dans les années suivantes, faisant de la Classe S un véritable faiseur de tendances. L’airbag, désormais un composant clé de la sécurité automobile, a vu le jour en 1981 dans la série 126 lancée deux ans auparavant. Les autres caractéristiques de cette génération de la Classe S incluaient la forme aérodynamique et la réduction systématique de poidsavec l’utilisation d’éléments comme les nouveaux moteurs V8 en alliage léger. La série 126 définit également la tendance en termes de design: ce fut la première voiture de tourisme Mercedes-Benz à se départir du traditionnel pare-chocs chromé en faveur d’un modèle en plastique déformable conçu pour résister aux « chocs de stationnement ». Même si initialement certains observateurs l’ont qualifié d’ordinaire et d’insipide, le design de la série 126 a rapidement été considéré comme intemporel et élégant.

Modèles de la série 140 (1991 à 1998)

La Classe S de la série 140 représentait le nouveau superlatif chez Mercedes-Benz en 1991. Ses développeurs avaient misé sur un maximum de confort, certainement en raison de ses dimensions généreuses et de son double vitrage pour une isolation acoustique optimale. Les modèles les plus haut de gamme, 600 SE et 600 SEL, étaient les premières voitures produites en série de Mercedes-Benz à comporter un moteur V12. Le modèle d’entrée de gamme était le turbo diesel 300 SD, qui a su apporter une classe luxueuse au segment du diesel sur les marchés hors Amérique du Nord. Cette génération de la Classe S a également introduit une nouvelle innovation de sécurité dans le monde de l’ingénierie automobile: l’ESP® ou Electronic Stability Program qui était proposé de série sur les versions V12 et en option sur les modèles V8 à partir de 1995. L’année suivante, le BAS, Brake Assist System, a vu le jour.

Modèles de la série 220 (1998 à 2005)

Suite au changement de modèle en 1998, l’apparence de la nouvelle Classe S (série 220) se voulait très sobre. Une réduction du poids et une amélioration de la sécurité et du confort faisaient partie des principaux objectifs de développement. Même si les options les plus lourdes, comme le double vitrage, ont dû être abandonnées, la nouvelle génération proposait un confort encore supérieur, en raison principalement du nouveau système de suspension pneumatique AIRMATIC contrôlé électroniquement, du système COMAND et de l’affichage et du régulateur de vitesse adaptatif et innovant DISTRONIC. L’Active Body Control (ABC), proposé dès 1999, réduisait le roulis de la caisse pour une dynamique de conduite jusque-là inégalée. La conception intérieure, qui pour la première fois, a été développée en étroite association avec l’extérieur, a su créer une ambiance inimitable dans la classe S. Le premier modèle AMG à figurer officiellement sur la liste tarifaire des Classe S, la S 55 AMG attirait les clients passionnés de vitesse. Même le modèle haut de gamme normal, sans comporter l’insigne sportive AMG, la S 600, a vu ses performances améliorées à l’automne 2002, lui permettant d’atteindre le seuil magique des 368 kW (500 ch) pour la toute première fois. En même temps, la série 220 a connu l’introduction d’une autre innovation révolutionnaire: le système PRE-SAFE, de sécurité préventive. Ce système permet au véhicule de préparer les passagers à une collision imminente en déclenchant automatiquement des mesures pour une protection optimale. Dans le cadre de l’affinage du modèle, la Classe S a également pu être équipée pour la première fois de la traction intégrale permanente intelligente 4MATIC.

Modèles de la série 221 (2005 à 2013)

La génération des modèles 221 présentée en 2005 associait un extérieur à l’allure expressive à un intérieur luxueux et haut de gamme. Le système COMAND perfectionné incluait un contrôleur sur le tunnel central pour un fonctionnement rapide et intuitif des fonctions et menus de plus en plus complexes. Parmi les autres innovations techniques pionnières, on peut citer le système actif Night View Assist, le système de contrôle de proximité DISTRONIC PLUS et Brake Assist Plus, qui a été actualisé pour devenir le système de freinage PRE-SAFE avec un freinage partiel autonome en 2006. D’autres systèmes d’aide à la conduite comme Blind Spot Assist (surveillance d’angle mort), Lane Keeping Assist (maintien dans la file de circulation) et Speed Limit Assist (reconnaissance des panneaux de limitation de vitesse) ont permis d’assister le conducteur et de rapprocher encore un peu plus la Classe S de Mercedes-Benz de l’objectif de conduite sûre, sans accident. Cette génération de la Classe S a également fixé de nouvelles normes en termes de sécurité physiologique améliorée, ce qui a été démontré en comparant les fréquences cardiaques de divers conducteurs. Sous cet angle également, la classe S a prouvé que sa base extrêmement solide établie sur plus de 40 années, pouvait toujours connaître des améliorations.

La génération actualisée de la série 221 a été lancée en 2009. La S 400 HYBRID a été le premier modèle de luxe de Mercedes-Benz à proposer une conduite hybride et la première voiture produite en série à avoir une batterie au lithium-ion. D’autres formidables exemples d’efficacité sont le modèle S 350 BlueTEC présenté en 2010 – un diesel particulièrement propre – et les modèles S 350 et S 500 BlueEFFICIENCY comportant des moteurs essence extrêmement efficaces tout en étant puissants grâce à l’injection directe de carburant. Enfin, début 2011, Mercedes-Benz a introduit un moteur quatre cylindres hautement efficace dans la série de la Classe S sous forme du modèle S 250 CDI. Son moteur diesel produisait des chiffres de consommation correspondant à ceux d’une voiture compacte, jusque-là jamais atteints pour une voiture dans la catégorie luxe; sans pour autant compromettre les performances et le confort.

Les origines de la Classe S

La tradition unique de la classe S de Mercedes-Benz n’a pas débuté avec le type 220 (W 187) en 1951; ses origines remontent à la création de la marque Mercedes au tout début du 20ème siècle. Un exemple à la fois précoce et accrocheur est la Mercedes-Simplex 60 PS lancée en 1903. Le modèle d’alors, haut de gamme, constitue désormais l’une des pièces d’exposition les plus spectaculaires de la collection Mercedes-Benz Classic. Cette routière à la fois élégante et luxueuse, datant de 1904, a appartenu à Emil Jellinek, un personnage clé dans les débuts de l’histoire de la marque Mercedes.

Dans les années qui ont suivi, les gammes Mercedes-Benz ont toujours inclus plusieurs modèles luxueux et haut de gamme. Même si les routières découvertes représentaient de loin la carrosserie la plus fréquente à cette époque, les modèles plus puissants étaient également proposés sous forme de berlines de luxe avec un confort passager ultime.

Au milieu des années 1920, les choses ont changé. En raison des moteurs toujours plus puissants et des volumes croissants de circulation, à tel point que le programme de construction de routes ne pouvait pas suivre, les caractéristiques de sécurité et un intérieur confortable ainsi qu’une protection optimale contre le vent, la pluie et la poussière ont pris de plus en plus d’importance. Les berlines et les berlines Pullman ont alors commencé à remplacer progressivement les routières découvertes. Les importants modèles haut de gamme et luxueux de cette époque étaient les 15/70/100 PS et 24/100/140 PS avec compresseur à six cylindres, produits sous la marque Mercedes à la fin de 1924. En 1926, la fusion de deux entreprises alors indépendantes fondées par Carl Benz et Gottlieb Daimler a engendré la création de Daimler-Benz AG, à la suite de quoi la première Mercedes-Benz avec un moteur à huit cylindres a été produite, il s’agissait de la Nürburg 460 (W 08), qui faisait partie de la gamme de 1928. Elle est restée dans le catalogue, tout en continuant à être développée, jusqu’en 1939. Le dernier modèle était le type 500. A partir de 1926, le véhicule d’entrée de gamme dans la collection premium de Mercedes-Benz a été la 12/55 PS à six cylindres, qui a été continuellement affinée et développée jusqu’au lancement de la Mercedes-Benz Mannheim 370 (W 10) en 1931. La totalement nouvelle Mercedes-Benz 290 (W 18) a suivi en 1933, mais a été remplacée par le type 320 (W 142) en 1937.

Berlines haut de gamme

En plus d’être des véhicules haut de gamme et luxueux, Mercedes-Benz a toujours proposé des véhicules représentant des avancées considérables. Non seulement, elles répondent aux normes les plus strictes en termes de sécurité, de confort et de style: mais en plus, en raison de leur statut les définissant comme modèles incontestablement haut de gamme, avec une ambiance extrêmement luxueuse et un intérieur particulièrement opulent et spacieux, elles sont principalement conçues pour répondre aux exigences d’individus qui ont besoin ou qui doivent refléter leur statut dans le choix de leur véhicule. Dans cette catégorie, on trouvait la « Super Mercedes » de Mercedez-Benz lancée en 1930 et également connue sous le nom de type 770. Equipée d’un moteur à huit cylindres à grosse cylindrée surpuissant, ce modèle Mercedes-Benz haut de gamme servait à affirmer son statut par le biais de l’automobile, en particulier pour les têtes couronnées et les chefs d’États ou encore des personnalités du monde de l’industrie et des finances.

La Mercedes Adenauer (1951 à 1962)

Après la Deuxième guerre mondiale, Mercedes-Benz a continué à dominer le segment de la voiture de luxe. Le type 300 (W 186) a été présenté en 1951 en même temps que le type 220 lors du premier salon automobile international à Francfort sur le Main. Lorsqu’il a été lancé, ce nouveau modèle phare de Mercedes-Benz était la voiture allemande la plus rapide avec une vitesse maximale de 160 km/h. La 300 était également le premier véhicule d’état officiel produit en Allemagne après la guerre et représente donc mieux que n’importe quel autre modèle, le retour de l’Allemagne sur la scène internationale. Le chancelier allemand, Konrad Adenauer, s’est vu offrir l’un des premiers exemplaires de ce modèle en décembre 1951 et dès lors, il ne s’est plus déplacé que dans une voiture de type 300. C’est pour cela que ce modèle haut de gamme a été rebaptisé Mercedes Adenauer. Le type 300 a été entièrement revu en 1957 et s’est vu attribuer la désignation interne 300 d (W 189). Le « d » a été choisi car il s’agissait de la quatrième version (après la 300, 300 b, et 300 c). La puissance du moteur était due à l’injection de carburant, qui pour la première fois, n’était plus une injection de carburant directe mais une injection par tubulure d’admission. L’empattement plus long et la carrosserie plus large ont engendré un confort supérieur, tout comme la direction assistée et la climatisation, deux options vraiment peu fréquentes à l’époque. Le système d’air conditionné, alors appelé « système de refroidissement » était proposé moyennant un coût supplémentaire de 3500 DM – soit l’équivalent d’une VW Beetle à la fin des années 1950.

Le légendaire type 600 (1963 à 1981)

Un an et demi après l’arrêt de la production des dernières 300 à Sindelfingen en mars 1963, un nouveau modèle haut de gamme de Mercedes-Benz a été présenté au salon automobile international de Francfort. Le type 600 (W 100) était un véhicule exceptionnel: son moteur V8 6.3 litres fournissait des performances plus que respectables et une vitesse maximale dépassant les 200 km/h. Un confort de conduite optimal était assuré par des suspensions pneumatiques, une transmission automatique fabriquée en interne et une direction assistée. Des fonctions de confort hydrauliques uniques permettaient d’ajuster les sièges avant et la banquette arrière, d’ouvrir et de fermer les portes ainsi que le coffre et un toit coulissant en option de même que les vitres latérales. La version cinq à six places avec un empattement de 3200 millimètres était principalement commandée par des clients privés très exigeants. De plus, Mercedes-Benz proposait également une version sept à huit places avec un empattement 70 cm plus long, laquelle était principalement utilisée comme limousine d’État officielle ou de cérémonie. En juin 1981, la dernière d’un total de 2677 exemplaires de la légendaire berline de luxe a été produite à l’usine Mercedes-Benz de Sindelfingen. Elle a directement été conduite à Untertürkheim, où lui a été réservée une place d’honneur dans la collection de véhicules de la société.

Le présent et le futur

Plus de 20 ans plus tard, une nouvelle fois, l’entreprise vient dominer le segment des berlines haut de gamme et de luxe: avec les modèles Maybach 57 et Maybach 62 qui ont été fabriqués en éditions limitées exclusives à l’usine de Sindelfingen en respectant les spécifications individuelles d’acheteurs exigeants entre 2002 et 2012.

A partir de 2013, Mercedes-Benz va perpétuer sa tradition de longue date de fabriquer des véhicules de luxe et haut de gamme en introduisant la nouvelle Classe S (série 222)

Points forts de la classe S et de ses prédécesseurs

La Classe S de Mercedes Benz et ses prédécesseurs ont toujours été synonymes d’ingénierie automobile innovante. Au fil du temps, ces véhicules ont continuellement apporté de nouvelles fonctions sur le marché, lesquelles ont été très largement acceptées. Voici une présentation rapide des caractéristiques spéciales de chaque série.

Mercedes-Simplex 60 PS (1903 à 1905)

• Moteur de pointe, très performant : moteur quatre cylindres à grosse cylindrée avec soupapes d’admission en tête

• Radiateur en nid d’abeille hautement efficace

• Empattement plus long et centre de gravité bas

Mercedes-Benz Nürburg, W 08 (1928 à 1933)

• Première voiture Mercedes-Benz produite en série avec un moteur à huit cylindres

• Carrosserie Pullman luxueuse et spacieuse

• Système de transmission haute vitesse en équipement spécial (à partir de 1931 en conjonction avec un indice volumétrique accru)

Mercedes-Benz 770 « Super Mercedes », W 07 et W 150 (1930 à 1943)

• Première voiture Mercedes-Benz produite en série avec un moteur à huit cylindres surpuissant

• Double système d’allumage avec deux bougies par cylindre (allumage des magnétos et allumage par batterie haute tension)

• Système de transmission haute vitesse (transmission manuelle cinq vitesses à partir de 1938)

• Cadre tubulaire ovale (à partir de 1938)

• Essieu arrière De Dion (à partir de 1938)

Mercedes-Benz 320, W 142 (1937 à 1942)

• Moteur six cylindres fonctionnant tout en douceur

• Transmission quatre vitesses synchronisée avec transmission à distance à partir de 1939

• Vaste gamme de carrosseries : berline, berline Pullman (avec boîtier extérieur dès 1939), berline profilée, plusieurs cabriolets

Mercedes-Benz 300, W 186 et W 189 (1951 à 1962)

• Moteur à six cylindres de pointe avec arbre à cames en tête

• Injection de carburant par collecteur d’admission contrôlé manuellement (à partir de 1957)

• Verrouillage de sécurité pour éviter que les portes ne s’ouvrent trop rapidement

• Suspension avec barre de torsion à fonctionnement électrique pour compenser la hauteur des roues arrière en cas de charge importante.

• Chauffage avec soufflerie de série

• Climatisation en équipement spécial (à partir de 1958)

• Direction assistée en équipement spécial (à partir de 1958)

Mercedes-Benz 220, W 187 (1951 à 1954)

• Moteur à six cylindres de pointe avec arbre à cames en tête

• Verrouillage de sécurité pour éviter que les portes ne s’ouvrent trop rapidement

• Chauffage avec soufflerie en équipement spécial

Mercedes-Benz 220 a/220 S/220 SE, W 180/W 128 (1954 à 1959)

• Construction monocoque

• Plus d’espace et de confort grâce à la nouvelle forme moderne

• Faux-châssis de la suspension avant

• Essieu oscillant à articulation unique avec centre de rotation bas

• Freins à tambour avec refroidissement turbo

• Chauffage avec soufflerie de série, réglable séparément pour le conducteur et le passager avant

• Embrayage hydraulique automatisé Hydrak en équipement spécial (à partir de 1957)

• Injection de carburant par collecteur d’admission contrôlé manuellement (220 SE, à partir de 1958)

Mercedes-Benz 220 b à 300 SE/300 SE long, W 111/W 112 (1959 à 1965)

• Cellule de sécurité des passagers avec zones de déformation de la carrosserie (avant et arrière)

• Volant rembourré et intérieur conçu pour réduire les risques de blessures en cas d’accidents

• Verrous de portières avec tige comportant deux détentes de sécurité

• Freins à disques (300 SE, à partir de 1961)

• Système de freinage double circuit (à partir de 1963)

• Transmission automatique quatre vitesses (à partir de 1961)

• Suspensions pneumatiques (300 SE, à partir de 1961)

• Version longue disponible (300 SE, à partir de 1963)

• Verrouillage centralisé en équipement spécial (300 SE long)

Mercedes-Benz 600, W 100 (1963 à 1981)

• Moteur V8 à grosse cylindrée, puissant

• Transmission automatique quatre vitesses

• Système de freinage double circuit avec freins à disques

• Suspensions pneumatiques

• Direction assistée

• Système hydraulique centralisé pour réglage des sièges, ouverture et fermeture des portes, des fenêtres et du compartiment à bagages

• Système de chauffage et de ventilation à commande électronique

Mercedes-Benz 250 S à 300 SEL 6.3, W 108/W 109 (1965 à 1972)

• Système de direction de sécurité (à partir de 1967)

• Ressort de compensation hydropneumatique sur l’essieu arrière

• Suspensions pneumatiques (300 SEL, 300 SEL 6.3, 300 SEL 3.5)

• Modèle 300 SEL 6.3 haut de gamme avec une puissance de 250 ch (184 kW), un moteur V8 puissant et des performances de voiture de sport (à partir de 1968)

Mercedes-Benz Classe S modèle 116 (1972 à 1980)

• Première utilisation officielle de la désignation « Classe S »

• Concept de sécurité intégral
–volant de sécurité à quatre branches–réservoir au-dessus de l’essieu arrière pour le protéger des collisions
–poignées de porte de sécurité–phares et clignotants de taille généreuse
–phares arrière autonettoyants–vitres latérales autonettoyantes

• ABS (anti-lock braking system) en équipement spécial (à partir de 1978)

• Régulateur de vitesse en équipement spécial (à partir de 1975)

• Essieu avant à double fourchette

• Essieu avec tirant et contrôle anti-affaissement (450 SEL, 450 SEL 450, 6,9 SEL 3.5)

• Transmission automatique avec convertisseur de couple en équipement spécial (de série sur les modèles 450 SE, 450 SEL, 450 SEL 6.9)

• Suspensions hydropneumatiques à maintien automatique d’assiette (450 SEL, 6.9 SEL, à partir de 1975)

• Première berline dans la catégorie luxe avec un moteur diesel, première voiture de tourisme produite en série avec un moteur turbodiesel (300 SD, à partir de 1978).

Mercedes-Benz Classe S modèle 126 (1979 à 1991)

• Carrosserie avec longeron à fourche, premiers véhicules produits en série au monde à répondre aux exigences en cas d’accident

• Coefficient de trainée plus bas, de cd = 0,37

• Nouveaux moteurs V8 avec bloc en alliage léger

• Pot catalytique en boucle fermée en équipement spécial (à partir de 1985) ou de série (à partir de 1986)

• Colonne de direction réglable électriquement en équipement spécial (à partir de 1985)

• Airbag conducteur et tendeur de ceinture pour le passager avant en équipement spécial (à partir de 1981)

• Airbag passager (à partir de 1988)

• Différentiel de verrouillage automatique en équipement spécial pour les modèles à six cylindres (à partir de 1985)

• ASR (acceleration slip regulation) en équipement spécial pour les modèles V8 (à partir de 1985)

• La berline Mercedes-Benz haut de gamme et luxueuse qui connaît le plus grand succès

Mercedes-Benz Classe S modèle 140 (1991 à 1998)

• Moteurs à essence avec technologie quatre soupapes et arbres à cames d’admission réglables de manière variable

• Première voiture Mercedes-Benz produite en série avec un moteur douze cylindres, le moteur de voiture de tourisme le plus puissant de la marque jusqu’alors (600 SE, 600 SEL)

• 300 SD diesel premium disponible pour la première fois sur les marchés internationaux

• Systématiquement conçue pour une capacité de recyclage élevée

• Absence totale de chlorofluorocarbones

• Transmission automatique cinq vitesses avec gestion électronique (de série pour les modèles V8 et V12 à partir de 1995)

• Direction avec couple de direction dépendant de la vitesse

• Double vitrage isolant sur les vitres latérales pour réduire le bruit

• Système de climatisation automatique avec filtre à charbon activé et capteurs de CO/NOX de série (S 600) ou en équipement spécial

• Rétroviseur extérieur rabattable électriquement

• Aide à la fermeture des portes et du coffre en équipement spécial

• Phares avec réflecteurs à focus variable

• Liaison électronique via CAN-bus

• Système d’appuie-tête avec réglage automatique de la hauteur

• Airbags latéraux conducteur et passager avant (à partir de 1996)

• ADS en équipement spécial

• Electronic Stability Program (ESP® ) en équipement de série (S 600, à partir de 1995) ou en équipement spécial (S 420, S 500, à partir de 1995)

• Aide au freinage (BAS, à partir de 1996)

• Aide électronique au stationnement PARKTRONIC de série (S 600, à partir de 1995) ou en équipement spécial (à partir de 1995)

• Système de navigation Auto Pilot System (APS) en équipement de série (à partir de 1995)

• Système d’appel d’urgence TELE-AID en équipement spécial (à partir de 1997)

• Système de contrôle vocal LINGUATRONIC en équipement spécial (à partir de 1996)

• Phares au xénon avec contrôle dynamique des phares en équipement spécial (à partir de 1996)

Mercedes-Benz Classe S modèle 220 (1998 à 2005)

• Carrosserie légère avec matériaux spéciaux pour alléger le poids (acier haute résistance, alliage léger, plastique)

• Crash boxes en aluminium à l’avant et sur la structure arrière

• Coefficient de trainée cd = 0,27

• Système de coupure automatique des cylindres de série (S 600) ou en équipement spécial (S 500)

• Transmission automatique sept vitesses 7G-TRONIC avec gestion électronique (S 430, S 500, à partir de 2004)

• Suspensions pneumatiques AIRMATIC avec ADS électronique

• ABC en équipement spécial (de série sur la S 600)

• Clignotants supplémentaires intégrés dans les rétroviseurs latéraux

• Mise en marche/arrêt automatique des phares

• Système COMAND et affichage avec système de navigation dynamique en équipement spécial

• Airbags de fenêtres

• Airbags arrière

• Airbag passager avec générateur de gaz à deux niveaux

• Tendeur de ceinture arrière et limiteur de force des ceintures

• Vitres latérales avec verre laminé

• Climatisation multizone automatique avec paramètres dépendant du soleil pour les sièges individuels

• Sièges luxueux avec ventilation et dossier multi-contours dynamique en équipement spécial

• Contrôle de proximité DISTRONIC en équipement spécial

• Accès sans clé KEYLESS‑GO et système d’autorisation de conduite en équipement spécial

• Phares bi-xénon avec contrôle dynamique des phares en équipement spécial (à partir de 2002, de série sur la S 600)

• PRE‑SAFE® système de sécurité préventive des passagers (à partir de 2002)

• Moteurs diesel V8 avec bloc en alliage léger (S 400 CDI)

• Traction intégrale permanente 4MATIC en équipement spécial (S 430, S 500, à partir de 2002)

Mercedes-Benz Classe S modèle 221 (2005 à 2013)

• Coefficient de trainée cd = 0,26

• Première voiture à avoir un certificat d’environnement

• Transmission automatique sept vitesses 7G-TRONIC avec gestion électronique et colonne de direction DIRECT SELECT

• ABC avec stabilisation en cas de vent latéral en équipement spécial (de série sur la S 600)

• Système de FREINAGE ADAPTATIF

• Feux de freinage adaptatifs

• Brake Assist Plus en équipement spécial

• Contrôle de proximité DISTRONIC PLUS perfectionné (freinage automatique jusqu’à l’immobilisation) en équipement spécial

• Freins PRE-SAFE avec freinage partiel autonome (dès 2006) ou freinage d’urgence autonome (dès 2009) en équipement spécial

• Système COMAND perfectionné avec contrôleur sur le tunnel central

• Affichage SPLITVIEW en équipement spécial (à partir de 2009)

• Park Assist en équipement spécial

• Toit panoramique basculant/coulissant en équipement spécial

• Night View Assist actif en équipement spécial

• Blind Spot Assist en équipement spécial (à partir de 2007, Blind Spot Assist actif à partir de 2010)

• Lane Keeping Assist en équipement spécial (à partir de 2009, Lane Keeping Assist actif à partir de 2010)

• Adaptive Highbeam Assist en équipement spécial (à partir de 2009)

• Speed Limit Assist en équipement spécial (à partir de 2009)

• Premier véhicule dans la catégorie luxe hybride à être équipé d’une batterie lithium-ion (S 400 HYBRID, à partir de 2009).

• Première classe S avec un moteur quatre cylindres (S 250 CDI, à partir de 2010)

La classe S et ses prédécesseurs dans la presse internationale

La Classe S de Mercedes Benz a reçu des critiques élogieuses de la part des médias internationaux. Des citations extraites d’articles contemporains sur les prédécesseurs de la Classe S permettent de saisir l’essence des périodes propres à chaque véhicule.

La Mercedes-Simplex dans la presse

Allgemeine Automobil-Zeitung, numéro 51-52/1902, au sujet de la Mercedes-Simplex au Salon de l’automobile de Paris:
“Nous vous avons déjà indiqué que cette année, les Français ont rebaptisé le salon de l’auto, le « Salon Mercedes ». Les modèles Mercedes sont sans aucun doute l’un des thèmes clés de la magnifique symphonie composée d’innombrables créations automobiles, lesquelles varient plus ou moins en degré de sophistication. Les Anglais ont d’ores et déjà inventé un nouveau mot pour décrire la transition des valeurs automobiles au sens global vers les valeurs Daimler: ils parlent, à juste titre, de « Daimlerfication ». Le radiateur en nid d’abeille, qui a partiellement influencé la ligne du véhicule et qui ne faisait pas encore parler de lui au dernier salon, est devenu un modèle pour la plupart des constructeurs français. Le 12 décembre, le Roi des Belges est venu visiter le Salon de l’automobile de Paris. Il s’agissait d’un visiteur particulièrement averti. Il souhaitait qu’on lui présente tous les stands et son périple l’a conduit vers les Mercedes exposées. On comprend facilement son intérêt pour la marque car le roi conduit déjà une Mercedes 40 HP et a récemment commandé l’un des tout derniers modèles 60 HP de Cannstatt. Lors de la visite du roi, l’ingénieur Maybach, qui se trouvait là également, lui a été présenté et une discussion animée s’est alors ensuivie entre les deux sur des sujets purement techniques. C’était tout un spectacle de les voir : la grande silhouette du roi à côté de celle beaucoup plus petite de Maybach. Mais en fait tous deux étaient rois en leur domaine: Léopold, roi des Belges et Maybach, roi des constructeurs. Maybach était incontestablement un personnage clé de cette exposition.”

Allgemeine Automobil-Zeitung, numéro 3/1903, au sujet des modèles Mercedes de 1903:“Aujourd’hui, les voitures Mercedes sont à l’apogée de l’industrie automobile internationale, un fait que même la concurrence française ne peut pas nier. […] Nous vous avons déjà montré dans nos premiers rapports du salon à quel point le désir d’imitation a progressé. Certaines entreprises cherchent, sans nul doute, à copier ses formes, si ce ne sont ses mécaniques. […] Le carburateur Mercedes a connu des modifications considérables. […] Le nouveau carburateur est vraiment beaucoup plus petit que le précédent et cela devrait permettre de réduire encore davantage le régime moteur, de sorte que lorsqu’il tourne au ralenti, on puisse réellement se placer à côté du véhicule sans rien entendre. […]”

Allgemeine Automobil-Zeitung (AAZ), numéro 28/1903, au sujet de la victoire de la Mercedes-Simplex 60 PS lors de la course Gordon Bennett en 1903:
“Même si les gens savaient déjà que la Mercedes 60 HP était capable d’atteindre des vitesses incroyables, ils avaient également conscience qu’elle était toujours derrière les voitures françaises en termes de vitesse absolue. Toutefois, la vitesse seule n’a pas été le facteur décisif sur ce circuit qui présente de nombreux virages et épingles à cheveux. Afin de prendre la tête rapidement, l’élasticité du moteur était bien plus importante, et comme nous le savons, ce n’est pas ce qui manque sur les Mercedes. Le conducteur de la 60 HP n’a pas besoin de se soucier du levier de vitesse pour modifier sa vitesse. Il peut obtenir des variations de vitesse sans à-coup, simplement en laissant la voiture en quatrième vitesse et en gérant seulement l’admission des gaz et l’allumage. De cette manière, la vitesse de la 60 HP peut passer de celle du trot à 120 km/h.” Dans le même numéro l’AAZ a également cité le Nevus Wiener Tagblatt publié à la même époque: « Les Anglais et les Américains étaient sur le circuit des semaines à l’avance. Ils connaissaient la position de chaque borne, de chaque virage et de chaque arbre. […] A l’inverse, les concurrents allemands se sont présentés peu de temps avant la course et ne connaissaient pas du tout le circuit; ils se fiaient plutôt à la qualité de leurs voitures. Ils étaient également les seuls à ne pas avoir amené leurs véhicules tous protégés sur la ligne de départ. Ils ont préféré conduire les voitures destinées à la course de Cannstatt à Paris puis de Paris au Havre, avant de traverser la Manche et de poursuivre le voyage, par leurs propres moyens, pour traverser le Pays de Galles puis la Mer d’Irlande. Puis, avec les mêmes véhicules que ceux qui avaient servi pour ce pénible voyage, ils se sont rendus en Irlande pour battre tout ce qui avait pu être décrit comme la quintessence de l’ingénierie automobile internationale… la Mercedes a été conçue par le génie Maybach ; toute la gloire et tous les honneurs sont pour lui ! »

La Mercedes-Benz Nürburg 460 et 500 (W 08/4, W 08) dans la presse

Allgemeine Automobil-Zeitung, Vienne, numéro 23/1928, au sujet de la Mercedes-Benz Nürburg 460 :“Compte tenu du principe traditionnel élémentaire de Mercedes-Benz de construire uniquement des voitures de haute qualité à la perfection absolue, il n’est pas surprenant que ce véhicule ait été lancé uniquement après que sa conception ait subi les tests les plus rigoureux. Pour lui faire passer l’épreuve du feu, le nouveau modèle a même dû fonctionner en continu jour et nuit avec des changements de conducteurs, sur le circuit le plus éprouvant du monde, le Nürburgring. L’hypothèse générale selon laquelle une voiture produite en série ne pourrait jamais parcourir plus de 10 000 km sans panne sur le Nürburgring a donc été démantelée par le nouveau modèle à huit cylindres dès le premier essai. La voiture a parcouru 20 000 km en douze jours avec une vitesse moyenne de 64 km/h et des vitesses maximales allant jusqu’à 110 km/h, en parfait état, battant un nouveau record de fiabilité. Suite à cet extraordinaire accomplissement, le nouveau modèle à huit cylindres a été baptisé ‘Nürburg’ (modèle 460, 4,6 litres, 18/80 ch).”

Auto Revue, numéro 10/1929, au sujet de la Mercedes-Benz Nürburg 460:
“Le sentiment de pur plaisir et de sécurité procuré par cette voiture est dû à la minutieuse répartition du poids, ce qui élimine quasiment le risque de dérapage. Le conducteur n’a affiché aucun signe de fatigue dû au poids du véhicule. La voie large, les bonnes suspensions et une direction facile et confortable, ainsi que le sentiment absolu de sécurité et de contrôle, même à grande vitesse, signifient que le conducteur ne montre quasiment pas de signes de fatigue même sur de longues distances. »

, Allemagne, numéro 37/1933, au sujet de la Mercedes-Benz Nürburg 500:“Il s’agit réellement de l’un des véhicules à sept places les plus spacieux (empattement: 3,67 m), conférant un confort exceptionnel et un intérieur particulièrement sophistiqué. Il a des suspensions vraiment douces et le moteur et tous les composants relatifs à la conduite fonctionnent sans bruit ni vibration. L’affinement des carrosseries Sindelfingen est en parfaite harmonie avec la supériorité technique de la voiture. […] La ‘Nürburg’ est sans aucun doute une voiture avec laquelle vous pouvez parcourir de grandes distances avec un confort de conduite remarquable et avec laquelle vous pouvez atteindre des vitesses moyennes élevées et des niveaux de sécurité importants grâce aux performances équilibrées du moteur et à l’excellent système de transmission.”

Mercedes-Benz 770 ‘Super Mercedes’ (W 07, W 150) dans la presse

(AAZ), Allemagne, numéro 38/1930, au sujet de la Mercedes-Benz 770 ‘Super Mercedes’ (W 07):
“Une nouvelle fois, ce modèle place la fabrication allemande de voitures en tête d’une catégorie spéciale, qui relève en fait, du domaine réservé de l’Allemagne depuis le début de l’histoire automobile et qui est étroitement associée au nom de Mercedes-Benz. On pourrait supposer que ceux qui pensent que leurs exigences particulières ne peuvent être remplies que par le summum absolu vont se tourner vers ce modèle. »

(AAZ), Allemagne, numéro 24/1932, au sujet de la Mercedes-Benz 770 ‘Super Mercedes’ (W 07) :“Il existe des véhicules, dont certains produits relativement récemment, qu’il serait ridicule de vouloir conduire à plus de 70 km/h mais la Super Mercedes n’en fait absolument pas partie. Contrairement à ces modèles concurrents bien connus, les performances de la Super Mercedes, quelle que soit la vitesse, sont tout simplement, irréprochables. Les suspensions de la voiture ne sont peut-être pas tout à fait aussi sensibles que celles de ses rivales américaines mais la Super Mercedes promeut un style de conduite précis qui garantit une tenue de route améliorée. Nous ne connaissons aucun autre véhicule qui propose une conduite aussi sûre avec une carrosserie aussi lourde à une vitesse incroyable de 120 km/h. C’est là le but ultime et la raison d’être de ce véhicule. Malgré son attitude conventionnelle de base, la Super Mercedes représente la gloire de la production Daimler-Benz et l’étape ultime du plus haut niveau de confort automobile avec les ressources actuellement disponibles.”

, R-U, numéro 632 du 23 mai 1939, au sujet de la Mercedes-Benz 770 ‘Super Mercedes’ (W 150) :
« Normalement une limousine de cette taille ne se conduit pas de manièrespectaculaire. Nous l’avons conduite rapidement sur des routes sinueuses et l’impression globale de conduite ainsi que la tenue de route sont incontestablement très bonnes. La voiture reste parfaitement stable dans les virages serrés, et la rigidité absolue du châssis tubulaire se reflète bien dans la tenue de route. Bien qu’aucun système anti-tangage ne soit utilisé, les suspensions fournissent une bonne combinaison de conduite douce en ville avec une bonne tenue de route et une liberté sans roulis excessif sur route. La voiture dans son ensemble donne une impression de grande stabilité.

La Mercedes-Benz 320 (W 142) dans la presse

(AAZ), Allemagne, numéro 33/1937, au sujet de la Mercedes-Benz 320:“Avec cette voiture, il est très tentant de parler davantage du confort indéniable que ressentent ses occupants plutôt que de ses caractéristiques techniques. Cela est principalement dû au fait que le fonctionnement interne de la voiture bourdonne tellement discrètement en arrière-plan que l’on en oublie facilement la quantité de travail de grande qualité requise en termes de conception et d’ingénierie pour un tel accomplissement. […] Le moteur est un modèle de calme, d’élasticité et de fonctionnement sans à-coup; l’indéfectible douceur de la conduite se reflète même lorsque le conducteur décharge sa nervosité en appuyant sur l’accélérateur. […] Les principales caractéristiques de cette automobile répondent aux normes les plus strictes. Les sièges n’ont rien à envier en ce qui concerne le confort et la praticité.

, Allemagne, numéro 2/1938, à propos de la Mercedes-Benz 320:
“La carrosserie Sindelfingen de l’entreprise Daimler-Benz se classe parmi les plus grandes réalisations de la construction de véhicules internationale et représente la meilleure qualité de travail allemande associée à un bon goût absolument exquis. Sa beauté et son élégance extérieures vont de pair avec le niveau le plus haut possible de praticité à l’intérieur, pour une conduite la plus confortable possible avec un principe de qualité indéfectible pour tous les aspects qui contribuent à créer ce véhicule exemplaire. »

, R-U, au sujet de la Mercedes-Benz 320 dans son numéro daté du 18 février 1938:“Le comportement routier est très au point en termes de douceur et de calmedu moteur et la conduite est très confortable. Cette voiture affiche de bonnes performances de deux points de vue opposés, dans le sens où elle est silencieuse, flexible et extrêmement régulière pour la ville tout en proposant une conduite agréable, et sans effort à grande vitesse et sur de grandes distances. […] L’intérieur est très bien fini avec l’utilisation de cuir, alors que son apparence externe est indéniablement à la fois caractéristique et esthétique.”

La Mercedes-Benz 300 (W 186) dans la presse

, Suisse, numéro 25/1952, à propos de la Mercedes-Benz 300 :
“De temps à autre, quelques usines de voitures réussissent à mettre au point età produire un véhicule très apprécié tant par les conducteurs que par les experts et par le grand public et tous ces éléments constituent un événement marquant de l’ingénierie automobile. La nouvelle Mercedes-Benz 300 saura prendre sa place dans cette série exclusive d’automobiles.”

, Allemagne, numéro 11/1952, à propos de la Mercedes-Benz 300:“Le moteur affiche de fantastiques performances. Ce n’est pas qu’une question de puissance; son élasticité, son raffinement et sa douceur sont également jubilatoires. Elle est en tout point égale aux moteurs américains en ce qui concerne ces propriétés. Enfin nous aimerions exprimer à quel point nous sommes heureux que la Mercedes 300marqueégalement le retour de l’industrie automobile allemande sur le marché international avec un produit de grande qualité. A Untertürkheim, ils peuvent être très fiers d’avoir réussi à construire un modèle réellement haut de gamme sous forme de la MB 300.”

, R-U, numéro du 23 mai 1952, à propos de la Mercedes-Benz 300:
“Il existe très peu de berlines capables de maintenir une vitesse moyenne supérieure à 160 km/h. Le fait qu’une voiture de cinq à six places avec un espace généreux pour les passagers et les bagages et équipée d’un moteur trois litres 114 ch y parvienne est une vraie réussite. Les suspensions et la maniabilité fournissent à la fois un confort de conduite, une stabilité et une sécurité qui constituent l’apogée de ce qui se fait actuellement. La conduite est suffisamment douce même pour les passagers les plus pointilleux mais elle est très amortie et il n’y a aucune sensation de roulis, même à grande vitesse sur des routes sinueuses. Il n’y a pas de tendance au sous-virage ni au sur-virage; si la voiture est poussée aux limites, l’arrière dérape mais cela peut être contrôlé instantanément d’un simple mouvement du volant. Le Type 300 de Mercedes-Benz est clairement un concurrent très sérieux intéressant les acheteurs internationaux avisés qui seront attirés par les performances, les finitions et les équipements. Ce véhicule offre un haut niveau d’excellence globale.”

La Mercedes-Benz 220 (W 187) dans la presse

Das Auto, Motor und Sport, Allemagne, numéro 23/1951, à propos de la Mercedes-Benz 220:“Pour la toute première fois, la 220 réunit sous la carrosserie d’un véhicule relativement économique, une sécurité de conduite supérieure à la moyenne, un tempérament de sportive et le confort et la solidité d’une voiture de luxe.”

Motor-Rundschau, Allemagne, numéro 22/1951, à propos de la Mercedes-Benz 220:
“La Mercedes-Benz 220 est, pour répondre aux souhaits de nombreux passionnés de Mercedes, dans la lignée de la 170 S, mais avec un moteur 80 ch 2,2 litres à 6 cylindres très performant, associé à une maniabilité suprême, il est possible d’atteindre des vitesses moyennes très élevées en toute sécurité, quelle que soit la charge et même sur des routes de montagne. C’est un véhicule de tourisme avec le tempérament d’une voiture de sport. La tenue de route est tellement fiable et la conduite tellement silencieuse qu’à une vitesse bien supérieure à 100 km/h sur autoroute on n’a pas particulièrement l’impression de rouler vite. »

ADAC-Motorwelt, Allemagne, novembre 1951, à propos de la Mercedes-Benz 220:“Considérée dans son ensemble, non seulement la maniabilité de la 220 est largement au-dessus de la moyenne, mais nous oserions même suggérer qu’il existe peu de véhicules au monde présentant une maniabilité aussi parfaite que cette voiture.”

Automobil Revue, Suisse, numéro 5/1952, au sujet de la Mercedes-Benz 220:
“Cette voiture a sans aucun doute bien plus à offrir que ce que l’on peut voir à première vue. Son propriétaire aura entre les mains un véhicule à la fois rapide, sûr, confortable et économique. Très peu de voitures de tourisme de la même catégorie présentent les mêmes qualités et celles-ci ne sont battues que par des voitures plus onéreuses. »

Les modèles six cylindres « Ponton » (W 180/W 128) dans la presse

Das Auto, Motor und Sport, Allemagne, numéro 19/1954, à propos de la Mercedes-Benz 220 a: »L’une des caractéristiques les plus distinctives de cette voiture est sa sécurité absolue, même à grande vitesse. Même sur les routes les plus mauvaises, à aucun moment, elle ne sort de sa voie et elle sait prendre les virages les plus délicats avec beaucoup d’aisance, sans devoir apporter une correction et sans inclinaison latérale perceptible. […] En plus de son élasticité, le moteur de la 220 est remarquable pour son équilibre exemplaire et pour son fonctionnement tout en douceur. C’est seulement lorsqu’il tourne au ralenti que l’on peut détecter une très légère vibration.”

Motor Rundschau, Allemagne, numéro 21/1954, à propos de la Mercedes-Benz 220 a:
“La Mercedes-Benz 220 est un produit de première classe de la construction automobile européenne. Bien que nous utilisions les superlatifs avec beaucoup de prudence, il est impossible de les éviter dans ce cas, particulièrement en ce qui concerne la description du moteur très perfectionné et performant au tempérament si doux […]. »

Automobil Revue, Suisse, numéro 9/1955, à propos de la Mercedes-Benz 220 a:“Le modèle 220 a est devenu une automobile européenne de première classe au caractère exceptionnel qui incarne à la fois le progrès général et technologique. Mais même pour un observateur impartial, tout en proposant un niveau de qualité considéré supérieur à la normale, ce véhicule offre une rare association de luxe intérieur et d’équipements, des dimensions extérieures modérées, une sécurité de conduite exceptionnelle et des suspensions confortables, une esthétique extérieure ainsi qu’une utilisation économique. En faisant la connaissance de la 220 a, notre respect s’est encore accru pour les capacités de son créateur mondialement reconnu, ne serait-ce que pour son prix tout à fait raisonnable. »

Das Auto, Motor und Sport, Allemagne, numéro 4/1959, à propos de la Mercedes-Benz 220 SE :
“Cette voiture de 1400 kg (avec le réservoir plein et la radio) est tellement réactive à la pédale d’accélérateur, qu’il n’est pas exagéré de dire qu’elle fixe de nouvelles normes, en tout cas en ce qui concerne toute voiture traditionnelle respectable.” Grâce aux caractéristiques du moteur silencieux généralement associées à six cylindres ou plus, nous avons pu faire l’expérience d’une conduite normalement réservée à des véhicules beaucoup plus conséquents ».

Les modèles six cylindres « tail fin » (W 111/W 112) dans la presse

Autocar, R-U, 6 novembre1959, à propos de la Mercedes-Benz 220 SE:“En résumé, la 220 SE présente des capacités routières exceptionnelles, sans aucun doute en rapport avec la longue expérience de la société dans le domaine de la course. De plus, cela permet d’atteindre et de maintenir des vitesses de croisière élevées de manière économique. L’intérieur a été conçu pour transporter cinq personnes et leurs bagages sur de grandes distances, capacité que très peu d’autres voitures peuvent offrir, quel que soit leur pays d’origine. »

Sports Cars, R-U, Décembre 1959, au sujet de la Mercedes-Benz 220 S et 220 SE:
“‘Fabelhaft’ est le terme allemand signifiant fabuleux et celui-ci résume bien ce qu’est la Mercedes 220. Elle fixe de nouvelles normes pour l’industrie, normes que peu de fabricants pourront égaler. »

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 19/1963, au sujet de la Mercedes-Benz 300 SE:“La 300 SE sert également de vitrine pour la gamme Daimler-Benz, associant dans un seul véhicule tous les derniers équipements disponibles: suspensions pneumatiques, transmission automatique, direction assistée. […] Il existe peu de voitures au monde permettant de voyager avec autant de confort et de sécurité que la 300 SE.”

La Mercedes-Benz 600 (W 100) dans la presse

, Allemagne, numéro 3/1965, à propos de la Mercedes-Benz 600: « Le confort de conduite représente indubitablement l’apogée de tout ce qui a été créé dans la technologie automobile à ce jour.” Le magazine a également écrit ce qui suit à propos de la sécurité: “Le terme « adhésion », utilisé souvent de manière abusive, est tout à fait approprié ici car le comportement est entièrement neutre et le demeure même dans les virages rapides, un léger déclin de la direction, magnifiquement directe et sensible, permettant, lorsque la stabilité latérale à l’arrière est réduite par rapport à l’avant, de contrôler le véhicule en toute sécurité. Mais ce n’est certainement pas la norme. On peut conduire la 600 comme une voiture de sport en franchissant un col de montagne sans connaître un tel phénomène; une voiture de sport bien conduite aura alors du mal à suivre. »

, numéro 23/1966, faisant preuve d’une légère ironie raffinée pour résumer la Mercedes-Benz 600:
“Que l’on puisse utiliser un tel véhicule (même lors de l’évaluation de voiture) comme point d’orientation est une lueur d’espoir eu égard à la tendance générale à la médiocrité. Il n’est pas du tout exagéré d’attendre de toutes les voitures autant de confort et d’opérabilité que ce que la 600 propose. Elles ne pourront probablement jamais être trop bien car même la 600 l’est, comme nous l’avons découvert suite à trois semaines d’utilisation quotidienne, ce qui est juste assez bien. »

La série W 108/W 109 dans la presse

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 2/1966, au sujet de la Mercedes-Benz 250 SE:“La facilité, la quiétude et la douceur de conduite, la sécurité à des vitesses élevées et dans les virages, l’équipement intérieur exceptionnel, l’attention portée à la qualité et au design même pour les détails secondaires parlent d’eux-mêmes et classent la 250 SE en bonne position parmi les meilleures voitures au monde.”

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 6/1968, au sujet de la Mercedes-Benz 300 SEL 6.3 :
“Nous avons réceptionné l’un des premiers exemplaires gardés jalousement, un véhicule pas encore équipé de la désignation « 6.3 ». L’absence de sigle a semblé semer la confusion. Un conducteur de Porsche 911 et un de 911 S, normalement habitués à être les rois de l’autoroute, se sont soudain retrouvés regardant la file de gauche, pris au dépourvu, par la Mercedes si éminente et à l’air relativement inoffensif. Au cas où l’un d’eux lirait ces lignes, nous souhaiterions leur préciser qu’il est inutile de ramener leur véhicule au garage pour cause de performances déficientes. »

La classe S, modèle 116 dans la presse

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 2/1973, au sujet de la Mercedes-Benz 350 SE :“Malheureusement le plaisir de conduire une Mercedes 350 SE est onéreux et seule une minorité peut y accéder. Cela est regrettable car pour un effort financier considérable, on obtient non seulement un symbole de prestige et de statut mais plus important encore une pléthore d’avantages que l’on aimerait voir sur toutes les voitures: un degré élevé de sécurité active et de résistance aux chocs, un design de carrosserie parfait, un confort exceptionnel, de vastes réserves d’énergie, une conduite sans effort et un savoir-faire exemplaire. Toutes ces caractéristiques extrêmement recherchées sont associées pour former une image générale de laquelle se dégage un point essentiel; il s’agit de l’une des voitures les plus parfaites au monde. »

Car, R-U, juin 1975, au sujet de la Mercedes-Benz 450 SEL 6.9:
“Une voiture capable d’une telle vitesse et pesant un tel poids doit faire preuve d’une excellente tenue de route et maniabilité et celle-ci ne vous décevra absolument pas qu’il s’agisse d’une épingle à cheveux ou d’un virage en trois séquences: les suspensions absorbent les bosses, la transmission est merveilleusement douce et admirablement facile à contrôler (soit au pied avec l’accélérateur, de manière délicate soit d’une main pressée au levier) et la direction est assistée de sorte à mettre en avant les réponses quasi neutres du véhicule. »

Automobil Revue, Suisse, 15 mai 1975, au sujet de la Mercedes-Benz 450 SEL 6.9:“C’est un vrai bonheur, compte tenu du climat ambiant, d’assister au lancement d’une voiture qui offre aux connaisseurs l’ultime plaisir de conduite, quelle que soit la vitesse. La 6.9 témoigne non seulement de la perspective optimiste de ses designers mais montre également qu’ils ont le courage de leurs convictions. »

La classe S, modèle 126 dans la presse

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 22/1979, à propos de la Classe S, modèle 126 :
“En conduisant, vous réaliserez rapidement que chez Daimler-Benz, la tranquillité fait partie de leur responsabilité civique. Tout bruit mécanique, même avec un six cylindres, reste discret en bruit de fond. De plus, il est absolument remarquable de relever à quel point les développeurs Mercedes ont réussi à éliminer le bruit du vent. »

Road & Track, Etats-Unis, février 1980, au sujet de la Classe S, série 126: “En me dépêchant de rentrer en empruntant une route forestière plutôt déformée, je me suis rendu compte à quel point une Mercedes est agréable à conduire. Une voiture avec essieu rigide pourrait produire les mêmes résultats mais en vous cassant la tête. La W 126 fonctionne remarquablement bien dans ce genre de situation et s’arrête également rapidement. »

Frankfurter Allgemeine Zeitung, Allemagne, 24 mai 1986, au sujet de la Mercedes-Benz 300 SE:“La 300 SE tient son cap comme un bateau faisant la course. Toutes les irrégularités de la route sont surmontées sans difficultés par les ressorts et amortisseurs. Aucune autre voiture ne confère un tel degré de confort avec de l’acier et du caoutchouc. Le grand volant vous permet de prendre les virages avec prudence et de vous abandonner gaiement. Cette voiture fait tout ce que vous voulez. Les roulements révèlent des niveaux de sécurité exceptionnellement élevés. »

La classe S, modèle 140 dans la presse

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 7/1991, au sujet de la Mercedes-Benz 600 SEL:
“Avec de telles dimensions, il y a peu de choses à dire sur l’intérieur : la sensation d’espace fait presque penser à du gaspillage, sensation accentuée à l’arrière par rapport à l’avant car la hauteur à l’arrière donne l’impression de se déplacer dans un séjour mobile. […] Il ne serait pas faux de la décrire comme la voiture la plus raffinée au monde; ne pas le reconnaître serait une vraie injustice pour Mercedes.”

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 12/1991, au sujet de la Mercedes-Benz 300 SE : »La taille et le poids de la nouvelle Classe S sont quasiment devenus une question politique. Mais à vrai dire, lorsqu’on la conduit, on fait beaucoup moins attention à ces facteurs que ce que l’on pourrait penser. Au contraire, il est surprenant de constater à quel point cette imposante voiture est légère et facile à conduire même sur des petites routes de campagne ».

Road & Track, États-Unis, décembre 1991, à propos de la Mercedes-Benz 500 SEL:
“A une vitesse de croisière de 110 km/h, la 500 SEL a l’honneur d’être la voiture la plus silencieuse jamais testée, à peine 64 dBA. Les doubles vitrages avec de l’air déshumidifié entre les parois contribuent à cette performance. Cela permet d’empêcher la formation de buée et d’absorber le bruit, mais non, Mercedes nous l’a assuré, les vitres ne sont pas blindées. C’est pourtant la question que certaines personnes posent en voyant l’épaisseur. »

mot, Allemagne, numéro 13/1991, au sujet de la Mercedes-Benz 400 SEL:“Avec la nouvelle Classe S, Mercedes revendique à nouveau le statut d »inventeur de l’automobile et de constructeur des meilleures voitures au monde. Lorsque l’on regarde la 400 SEL, on est bien forcé d’admettre que cela est vrai. »

La classe S, modèle 220 dans la presse

Frankfurter Allgemeine Zeitung, Allemagne, 13 octobre 1998, à propos de la Classe S, modèle 220:
“Les berlines créent une présence imposante, malgré un poids plus léger et des dimensions plus compactes. De plus, elles font preuve d’une agilité et d’une maniabilité que nous n’avions encore jamais vu dans cette catégorie de voiture. En même temps, on remarque une précision de l’emplacement du volant et une réactivité de la direction que l’on associerait en temps normal à un sérieux compromis en termes de confort de conduite. Les suspensions pneumatiques, en série sur toutes les versions, semblent transformer la berline Mercedes en tapis volant capable de reconnaître les turbulences avant même qu’elles ne se forment. Toutes les Classe S devraient afficher ce petit panneau qui a connu son heure de gloire sur la vitre arrière: Attention – c’est le chef qui conduit ! »

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 25/1998, au sujet de la Mercedes-Benz S 320:“L’Airmatic et l’ADS font également partie du package qui confère à cette grande berline de telles caractéristiques de maniabilité légère et facile sans mouvements instables de la carrosserie. Elle est assistée par une direction avec une sensibilité à la vitesse précise, qui permet de diriger cette berline de deux tonnes comme une voiture compacte. »

Road & Track, États-Unis, décembre 1999, à propos de la Mercedes-Benz S 500:
“Entretemps [en attendant l’arrivée de la S 600], la S 500 est un fleuron de la marque: rapide, silencieuse, stable et pourtant si agile. Alors que la précédente Classe S rétrécissait comme par miracle avec la vitesse, dans un sens, cette nouvelle version est déjà pré-rétrécie ; la dynamique de son excellent châssis est évidente quelle que soit la vitesse et son confort est égal à celui de la voiture qu’elle remplace. »

Auto Zeitung, Allemagne, numéro 4/2003, lors d’un essai comparatif entre la Mercedes-Benz S 600 et la BMW 760 Li:“Il est difficile à croire qu’un tel moteur puisse trouver son égal. Mais le V12 à turbocompresseur de Mercedes fait de l’ombre à celui de BMW. La puissance de ses 800 newton-mètres et de ses 500 ch donne lieu à une performance de conduite encore plus agréable à bas régime sans compromettre son bon fonctionnement. Deux turbocompresseurs produisent une telle propulsion énorme que la transmission automatique à 5 vitesses a rarement besoin de changer le rapport de boîte même à des vitesses très élevées. Ce V12 est absolument sensationnel.”

La classe S, modèle 221 dans la presse

Autorevue, Autriche, novembre 2005, à propos de la Mercedes-Benz S 500:
“Une conception légère, quatre au lieu de trois soupapes par cylindre et des arbres à cames à calage variable sont prévus [pour le moteur V8] pour produire un couple maximum de 530 newton-mètres; ainsi il suffit d’un peu moins de six secondes, avec l’aide de la transmission automatique sept vitesses parfaitement synchronisée, pour que l’aiguille du compteur dépasse la marque des 130 km, les 100 km sont atteints en 5,4 secondes – une 911 Carrera n’est plus rapide que de quatre dixième de seconde; mais malgré tout cela, tout est silencieux, ordonné et imperturbable: les suspensions pneumatiques lissent parfaitement les irrégularités de la route, évacuant les forces centrifuges soit avec une sérénité totale (mode confort) soit en choisissant un petit peu plus de sensations (Mode Sport, avec un débattement de ressort réduit de 20 millimètres). »

auto, motor und sport, numéro 3/2009, au sujet de la Mercedes-Benz S 600: »Elles [caractéristiques de maniabilité bien équilibrées] correspondent à la décontraction selon laquelle la S 600 produit ses 830 Newton-mètres de couple. Un grondement éloigné accompagne la voiture sur la file de dépassement, mais il est tellement peu perceptible que le conducteur entend le bruit du vent et la « respiration » des sièges multicontours actifs : en même temps, la voiture décolle pour atteindre 100 en 4,5 secondes et 200 en 15,1 secondes. »

Road & Track, États-Unis, mars 2009, à propos de la Mercedes-Benz S 400 Hybrid:
“Ici au Royaume-Uni et en Europe, le diesel est privilégié pour une plus grande économie concernant les voitures mais les véhicules hybrides comme celui-ci sont également appréciés lorsque le diesel n’est pas disponible ou pas aimé. De plus, il s’agit de la première voiture d’une série d’hybrides que va produire l’entreprise qui a révolutionné le transport des personnes au 19è siècle. »

auto, motor und sport, Allemagne, numéro 12/2011, au sujet de la Mercedes-Benz S 250 CDI: »La nouvelle S250 CDI est réellement en train de bouleverser le monde des voitures de luxe. Aucune autre voiture n’est capable de vous emmener d’un point A à un point B avec un tel degré de confort et une telle économie d’énergie que cette Mercedes. De plus, l’acheteur n’est pas obligé de faire des concessions difficilement admissibles en ce qui concerne la conduite car le double moteur quatre cylindres suralimenté fournit une puissance largement suffisante et la douceur de son fonctionnement s’approche de la perfection. »

Le saviez-vous… ?

La Classe S de Mercedes Benz est la star du Calendrier Classic 2013. Son titre: « Hommage à l’art et au savoir-faire: Mercedes-Benz rencontre Mimmo Rotella’. Douze images uniques représentant des Classe S historiques dans une nouvelle production par Monty Shadow. Disponible à partir d’octobre 2012 sur le site www.mercedes-benz-classic.com/kalender.