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Abarth 595 Turismo et Competizione


Abarth : Plus qu’une marque, un art de vivre

Parce que la voiture a pénétré notre quotidien comme nul autre objet de consommation, notre besoin de différenciation n’a jamais été aussi fort qu’aujourd’hui. Avec son sens inné du raffinement, sa touche de distinction légendaire et son intarissable capacité créative, Abarth conçoit et réalise des automobiles exclusives dont la vocation première est d’illuminer le regard de leur propriétaire chaque matin, une philosophie de vie qui va bien au-delà du simple rapport à l’objet roulant, une certaine idée du bonheur tout simplement.

Gamme Abarth : Toujours plus abordable, encore plus prestigieuse

Entre les 500 et 500C, deux petits  »poisons » de respectivement 135 ch et 140 ch dédiés au plaisir des yeux et de la conduite, et la 695 Edizione Maserati, une luxueuse décapotable de 180 ch produite à 499 unités, les nouvelles 595 et 595C, Competizione et Turismo, constituent le nouveau cœur de gamme Abarth. Ces quatre nouvelles versions, dotées du bloc 1.4, T-Jet Turbo de 160 ch, intègrent la galaxie du Scorpion, un univers désormais accessible à partir de 17 900 €.

Né sous le signe du scorpion

Quand en mars 1949 Karl Abarth choisit d’installer sa société au 10 de la Via Trecate à Turin, le natif de Vienne, prénommé Carlo depuis sa naturalisation italienne en 1945, a 40 ans passés et une belle expérience de la compétition derrière lui, acquise au guidon de motos et de side-cars, puis en qualité de directeur sportif de l’écurie Cisitalia. Flanquées d’un scorpion, son signe astrologique, ses productions, qu’il revendique  »petites mais méchantes », ne vont pas tarder à faire trembler le bitume du Piémont. Leur carrosserie débridée et l’intonation caractéristique de leur échappement se bâtissent rapidement une solide réputation. La Fiat 600 est la première à hériter des fameuses préparations Abarth. Elle atteint son apogée avec l’explosive déclinaison 850 TC pour Turismo Competizione, en 1962.

Un demi-siècle après, la 595 réapparaît

En parallèle, la Fiat 500, lancée en juillet 1957, est aussi l’objet de toutes les attentions. De kits de transformation en optimisations mécaniques naîtront les versions 595 SS (Super Sportiva) et 695 SS. Déjà ! Tombé dans le giron Fiat en 1971, huit ans avant la disparition de son fondateur, la firme au scorpion a retrouvé son statut de constructeur à part entière en 2008. Une marque, un emblème, un passé glorieux, une passion intacte… tous les ingrédients sont réunis pour assoir le succès du mythique préparateur turinois. Reposant sur trois valeurs clés – sportivité, authenticité et expérience client -, le retour d’Abarth souligne l’intention de ses concepteurs de faire rêver les amateurs de sportives, ceux pour qui l’automobile sera toujours synonyme de sensations, de caractère et d’émotions. Les nouvelles versions 595 Competizione et Turismo, présentées aujourd’hui, n’ont d’autres ambitions que de poursuivre ce noble dessein.

Abarth 595 Competizione

« Competizione : du français compétition, action de chercher à obtenir un titre en même temps que d’autres »

Avec la 595 Competizione, Abarth s’adresse aux purs et durs, à ceux qui ressentent l’appel de la piste. Ceux pour qui l’efficacité prime sur tout autre aspect de la conduite. Par ses valeurs et son dynamisme, cette version répond à leurs attentes.

Sportive sans compromis, la 595 Competizione respire la compétition jusque dans ses moindres détails. Comment ne pas craquer quand, au premier regard, on meurt d’envie d’enfiler combinaison, casque et gants.

Toujours plus d’image, encore plus de son

Extérieurement, cette version se différencie par sa grille de calandre spécifique, ses jantes en alliage diamantée de 17 pouces, abritant un cache-moyeu cerclé de rouge et des étriers de freins peints en rouge, ses vitres et lunette arrière privatives, ses passages de roues teintées dans la carrosserie et ses stickers Abarth gris titane. Mais c’est avant tout par ses quatre sorties d’échappement Record Monza à la sonorité envoûtante que la Competizione se plaît à signaler sa présence. Imitant à la perfection le rugissement du lion, ce pot « dual mode » offre 5 chevaux supplémentaires. Les accrocs du chrono ne s’en plaindront pas.

Dans l’habitacle, l’Abarth 595 Competizione met le sport automobile à l’honneur. En plus du traitement exclusif de la planche de bord, la Competizione se pare de splendides sièges Sabelt en tissu, frappés du chiffre mythique « 595 » dans leur partie supérieure. Elle est également dotée d’un pédalier, d’un repose-pied et de seuils de porte en aluminium satiné. Il ne reste plus qu’à tourner la clé et à saisir le petit levier.

Sous le court capot moteur sommeille le bloc 1,4 T-Jet Turbo qui ne demande qu’à réveiller ses 160 chevaux (117 kW). Associé à une boîte manuelle à cinq rapports ou à une transmission séquentielle avec palettes au volant, telle une Formule 1, ce quatre cylindres 16 soupapes ne demande qu’à s’enflammer. De son couple généreux (230 Nm à 3 000 tr/min), il tire merveilleusement partie, comme en témoignent sa vitesse maxi (211 km/h*) et ses accélérations (0 à 100 km/h en 7,4 sec.*). Il revendique néanmoins de faibles consommations (5,4 litres aux 100 km en cycle mixte) se traduisant par des rejets de CO2 très raisonnables (155 g/km**).

Grâce à l’efficacité des quatre amortisseurs Koni avec valve FSD de série et à la fonction sport qui modifie le tarage de la direction assistée électrique dual drive et améliore également le temps de réponse à l’accélération, la 595 Competizione concilie précision de conduite sur route et efficacité extrême sur circuit, une voiture deux en un, aussi à l’aise en course qu’en milieu urbain.

Née pour étancher la soif d’asphalte

Disponible en six coloris unis et trois teintes bicolores, la  »bombinette » Abarth jouit d’une dotation très complète, intégrant notamment l’ESP, l’airbag genoux conducteur, les phares au xénon, la climatisation automatique, l’autoradio CD MP3 avec commandes au volant, un port USB et le système bluetooth. Avec des tarifs variant de 23 700 € à 26 700 €, la série 595 Competizione présente un rapport prix/équipements avantageux

* 209 km/h et 7,6 sec. avec la boîte robotisée
** 151 g/km avec la boîte robotisée

Abarth 595 Turismo

« Turismo : du français tourisme, action de voyager pour son plaisir »

Ceux qui optent pour une Abarth entendent se distinguer. Par principe, il déteste l’anonymat et la banalité. Bonne nouvelle, la 595 Turismo, également. Si sa personnalité diffère de celle de la turbulente 595 Competizione, elle ne manque surtout pas de caractère. Jouant la carte de l’élégance et du raffinement, elle se singularise par ses jantes de 17 pouces à dix rayons et sa double sortie d’échappement chromée.

A l’instar de la 595 Competizione, elle exhibe une calandre distinctive, des projecteurs bi-xénon, des étriers de freins peints en rouge et des passages de roue couleur carrosserie. Proches par leur style extérieur, les deux 595 s’opposent par leur timbre.

Que les mélomanes se rassurent ! S’ils jugent trop discrets les grommellements de la Turismo, il leur suffit de cocher la case « pot Monza » dans le catalogue d’accessoires pour entendre les rugissements du moteur à l’approche des 4 000 tr/min.

Ouverte ou fermée, mais toujours raffinée

Ostensiblement orienté confort, l’habitacle réserve quelques jolies surprises. A l’équipement déjà riche et complet de la version 135 ch, la Turismo ajoute un radar de recul, un rétroviseur jour/nuit et… de superbes sièges en cuir à appuie-tête intégré. Pommeau, levier et pédalier se parent d’aluflex, et la planche de bord, d’un revêtement spécifique.

Les versions cabriolet héritent d’une lunette arrière en verre et d’une commande électrique actionnant la capote. Comme la Competizione, la Turismo donne, en effet, le choix entre une carrosserie ouverte ou fermée, et permet l’accès à de nouveaux coloris unis (gris Record, noir Scorpion ou blanc Iris) ou bicolore (gris Pista / rouge Officina).

Au contact des assises drapées de cuir, cette 595 invite au voyage. Partageant moteur et transmission avec la Competizione, la Turismo propose deux modes de fonctionnement : piano, en utilisant la fonction automatique de la boîte robotisée, ou allegro en exploitant les 160 ch de son bloc 1,4 T-Jet jusqu’à son régime maximum (5 750 tr/min).

Dans les deux cas, le plaisir est au rendez-vous ; la rigueur du châssis, son assiette abaissée et le contrôle de transfert de couple lui garantissant un comportement routier de haute volée. Grâce à son électronique peu intrusive, sa conduite se révèle sereine même en conditions extrêmes.

Une élégante qui cultive la performance

Equipée d’amortisseurs Koni à valve FSD (Frequency Selective Dumping) à l’avant et à l’arrière, la Turismo distille, telles les reines du Grand Tourisme, de véritables sensations de pilotage.

Pour autant, elle n’en oublie pas le quotidien, sa dotation abondante conservant un aspect très fonctionnel. Ainsi, appuie-tête arrière, volant et siège conducteur sont réglables en hauteur ; vitres, verrouillage des portes et rétroviseurs s’activent électriquement et la banquette arrière est fractionnable 50/50. Ses prix, enfin, varient de 21 800 € pour le coupé à boîte manuelle à 24 800 € pour le cabriolet à boîte robotisée.